Ça recommence... voila ! Ma vie revient à grands pas vers moi ! Avec Raphaël j'ai eu droit à une pause de plus de quatre ans ; quatre ans durant lesquels je n'étais pas heureuse tous les jours, mais durant lesquels j'ai échappé à ce qui faisait le drame de ma vie : je suis une éternelle amoureuse contemplative. Je pensais être immunisée maintenant ! Être tranquille ! Aimer Raphaël jusqu'à la fin de ma vie, en me lamentant parce qu'il vivrait une autre vie ailleurs et que je n'aurais plus droit qu'à son amitié, blablabla ; enfin vous connaissez quoi. Vous connaissez très bien l'amour que je lui porte, ma sensibilité, vous avez tout suivi de mes déboires, et aussi tout avant. Mais pas assez avant.
Vous n'avez pas connu la Tristelune du lycée. C'était quelque chose d'étonnant à voir ! Dommage que j'aie fait sauter les blogs quicksand.skyrock et tristelune.skyrock ! Vous en auriez vu encore des dépressions ! Avec le recul je m'étais dit : "mais pourquoi t'es pas allée voir Muf ? T'avais rien à perdre !" Bon, il m'aurait envoyé sur les roses, mais au moins j'aurais essayé. Sauf que là je ne me le dis plus, parce que je suis confrontée à la même situation : en moins grave toujours puisque j'en suis encore à sortir de ma tête la rupture de Raphaël. Cela n'empêche qu'il y en a pourtant un autre qui vient s'incruster dans mes pensées, et que j'aimerais bien éviter ça, du moins pour l'instant !
Ça pue les malheurs de lycée à plein nez ! Et évidemment je n'aurai pas plus de cran qu'à l'époque. Puis je ne suis pas sûre de vouloir l'avoir le cran, c'est à peine si j'arrive à me relever que je suis déjà prête à retomber, mais ailleurs. Mais c'est quoi cette malédiction ?! Je ne peux pas être tranquille un jour ? N'être rien qu'à moi ? Ne pouvoir penser qu'à moi ? Être égoïstement seule et concentrée sur ma propre personne et mon propre développement ?! C'est lourd à la fin... j'aurais JAMAIS eu une minute de repos là-dedans !
Criquet il me dit : "c'est en te disant que tu vas retomber amoureuse que ça arrivera". Il a raison dans un sens : si je suis persuadée que je ne peux pas vivre sans être amoureuse, il est évident que je vais toujours l'être. Sauf que je n'y avais même pas repensé, je ne me suis pas dit "oh merde, je vais retomber amoureuse", que le processus était déjà enclenché ! Galère, galère... Je l'ai même pas vu venir et maintenant c'est fichu.
Y a toujours Raphaël, blotti, là, au fond de mon coeur. Mais il y en a un autre (non non, ça va pas dans vos têtes, je ne dévoilerai pas son nom, vous voulez ma mort en plus de ça ?) qui s'immisce là-dedans, sans demander mon avis, il force l'ouverture, il a vu qu'il y avait de la place alors il en profite ! Me voila donc presque amoureuse (je dis presque parce que j'espère quand même une disparition de ce sentiment dans les plus brefs délais vu que c'est voué à l'échec et que j'en ai marre de ces situations de merde) d'un autre.
Ça c'est de la faute des médicaments ! Ils ont anesthésié mon cerveau émotionnel pendant quelque temps, histoire que je relativise la fin de Raphaël et moi sans être submergée par les sentiments. Je commençais tout juste à m'y faire que j'ai demandé au médecin de réduire mes doses de médocs, il était d'accord. Et voila mon cerveau émotionnel qui se remet en route (j'ai versé une larme durant La Dame de Fer : article à venir, après celui sur La Taupe), si je suis capable de pleurer je suis aussi capable d'aimer de nouveau. Et mon esprit ayant compris clairement le départ de Raphaël, à peine était-il à nouveau sur pieds, qu'il s'est dit qu'il faudrait que le coeur jette son dévolu sur quelqu'un d'autre !
Criquet il me dit : "c'est en te disant que tu vas retomber amoureuse que ça arrivera". Il a raison dans un sens : si je suis persuadée que je ne peux pas vivre sans être amoureuse, il est évident que je vais toujours l'être. Sauf que je n'y avais même pas repensé, je ne me suis pas dit "oh merde, je vais retomber amoureuse", que le processus était déjà enclenché ! Galère, galère... Je l'ai même pas vu venir et maintenant c'est fichu.
Y a toujours Raphaël, blotti, là, au fond de mon coeur. Mais il y en a un autre (non non, ça va pas dans vos têtes, je ne dévoilerai pas son nom, vous voulez ma mort en plus de ça ?) qui s'immisce là-dedans, sans demander mon avis, il force l'ouverture, il a vu qu'il y avait de la place alors il en profite ! Me voila donc presque amoureuse (je dis presque parce que j'espère quand même une disparition de ce sentiment dans les plus brefs délais vu que c'est voué à l'échec et que j'en ai marre de ces situations de merde) d'un autre.
Ça c'est de la faute des médicaments ! Ils ont anesthésié mon cerveau émotionnel pendant quelque temps, histoire que je relativise la fin de Raphaël et moi sans être submergée par les sentiments. Je commençais tout juste à m'y faire que j'ai demandé au médecin de réduire mes doses de médocs, il était d'accord. Et voila mon cerveau émotionnel qui se remet en route (j'ai versé une larme durant La Dame de Fer : article à venir, après celui sur La Taupe), si je suis capable de pleurer je suis aussi capable d'aimer de nouveau. Et mon esprit ayant compris clairement le départ de Raphaël, à peine était-il à nouveau sur pieds, qu'il s'est dit qu'il faudrait que le coeur jette son dévolu sur quelqu'un d'autre !
Coeur et cerveau émotionnel...
ESPÈCES DE TRAÎTRES !!!
ESPÈCES DE TRAÎTRES !!!