21 juin - 11:09 PM

Saeglópur by Sigur Rós on Grooveshark

Bêtement, j'allais commencer mon article par "vous connaissez Beneth ?". Je dis "bêtement" parce que vous ne pouvez pas le connaître. Beneth c'est mon Protecteur à moi et personne ne peut le connaître. En fait c'est une production de mon subconscient ; j'ai rencontré Beneth en rêve, dans les Pyrénées. Vous allez vous dire que les modifications de pression atmosphérique de la montagne m'ont cogné le cibouleau, mais il y a des rêves bizarroïdes comme ça, dont on se souvient étrangement bien et qui semblent abriter une certaine vérité.
Comme cette fois où j'ai vu un truc, un "truc" c'est bien le mot, quelque chose d'indéfinissable, comme si la nuit était une entité lovée sur mon lit et qui s'est redressée pour me regarder droit dans les yeux (alors qu'elle, elle n'en avait pas, évidemment) et que j'ai cru mourir. Je ne sais pas si je vous en avais déjà parlé, mais j'ai cette étrange certitude que si ma conscience m'avait pas gueulé "Réveille-toi ! Faut pas rester là !... Maintenant !", je serais morte d'une façon ou d'une autre. Infarctus, AVC, j'en sais rien, mais il me serait obligatoirement arrivé un truc bien comme on n'en veut pas (bon, ok, si ça se trouve je me serais peut-être juste pissé dessus). C'était la mort dans mon lit, c'est sûr. Et elle m'a regardé. Depuis je flippe dès que je pense à ce rêve. Oui, j'ai bien les larmes aux yeux quand je vous écris juste la fin de ce terrible cauchemar.

Cela dit, revenons-en à mon chez Beneth. Déjà, veuillez prononcer ça "bénèss", à l'anglaise, surtout pas "bénèt", et encore moins Benoit ! Nan parce que les gens comprennaient pas comment l'appeler dans mon rêve et y avait des "Benoit" qui volaient de-ci, de-là. C'est de mon Protecteur qu'on parle là, si Beneth est un nom assez laid (c'est pas moi qui ait choisi, c'est ma conscience qui m'a dit qu'il s'appelait comme ça) c'est au moins plus original que Benoit (j'ai rien contre les Benoit, mais j'aime pas du tout ce prénom).
Je ne peux pas vous raconter tout le rêve, il reste des endroits de flou qui rendent un minimum de cohérence impossible. Ça a commencé avec une forêt. Dans cette forêt il y avait des ruines en hauteur, des ruines de temples assez proches des pyramides aztèques, la végétation recouvrait la majeure partie des pierres, mais alors que les grandes ruines montaient vers la cime des arbres, il y avait sur le côté une grille en fer, une petite herse à demi relevée, qui menait dans un souterrain très sombre. Ma conscience m'a dit qu'il ne valait mieux pas que j'y aille, que les gens avaient peur de voir derrière la grille. Pourtant elle ne me l'a pas interdit ou n'a pas hurlé comme elle l'a déjà fait à plusieurs reprises dans d'autres rêves (dont je ne me rappelle pas le contenu : saloperie de conscience, des fois elle censure des trucs, c'est flippant !). Je suis donc entrée. Bizarrement je n'avais pas peur le moins du monde. Pas même quand je suis tombée face à face avec Beneth.
Beneth est une sorte d'ectoplasme, grand, gris-noir, aux contours très flous. Il ressemble à un grand homme capé, sans visage. Ou presque. De sa cape fantomatique, là où aurait dû se trouver le visage, sort une sorte de dentition gigantesque, comme si on pouvait voir ses incisives et ses canines, mais que chacune de ses dents était une défense de sanglier, grise évidemment, pour rester dans le style du personnage. Imaginez donc dix défenses, celles représentant les canines étant plus longues que les autres, qui sortent d'un visage sans contours, sans nez ni yeux. Je n'ai pas eu peur. Au contraire, je n'ai jamais été autant en confiance.
Beneth ne parle pas. C'est ma conscience qui a été obligée de me dire son nom, comme à regret d'ailleurs. Mais moi je lui parlais. J'ai réussi à le faire sortir du cachot ; les gens n'avaient plus peur d'y aller une fois que je l'avais fait sortir. Et ils n'avaient pas peur de lui, que ce soit sous sa forme ectoplasmique ou sous sa forme humaine (oui, des fois il se change en homme) ; et tant mieux parce que j'ai voulu le présenter à tout le monde ! J'ai exhibé mon Protecteur au maximum d'endroits possible, au maximum de gens possible ; je ne sais même plus qui étaient ces gens d'ailleurs. Mais j'ai trop dû abuser de lui, parce qu'il m'est maintenant impossible de le revoir. J'ai beau y penser souvent dans la journée, croiser les doigts le soir pour le retrouver en rêve, je crois que ma conscience est tout à fait opposée au fait que je le revoies.
C'est frustrant parce que je suis carrément bien quand il est à côté, j'ai beau être en plein rêve, je n'ai peur de rien, ma conscience ne parle que très peu, si quelque chose m'inquiète, je vais le chercher, il n'est jamais loin, et tout va mieux ! C'est pour ça que je l'appelle mon Protecteur. Maintenant la question est : "quelle protection effectue-t-il ?"

Nan parce qu'il faut quand même pas déconner, c'est avant tout un rêve. Mais Beneth il était sur-réel ! Comme la flaque de nuit fatale qui s'est retournée dans mon lit ! Ma conscience a réagi exactement pareil. Ça fait un peu comme si Beneth et la flaque de nuit étaient deux entités équivalentes à ma conscience, tant au niveau du pouvoir que du statut. La conscience est extérieure au rêve, tout en le pénétrant pour communiquer. Dans ce cas, la Flaque et Beneth seraient aussi des entités supérieures du rêve ?
Tout ça me dépasse. Et vous n'imaginez pas comme je suis frustrée de ne pas revoir mon Beneth ! Bon, la Flaque je ne veux pas la revoir, je ne tiens pas à percer son mystère, à recroiser son hypothétique regard léthal, vu la réaction de ma conscience et la façon dont j'ai été projetée hors du rêve, c'est trop dangereux. Ma conscience serait alors effrayée par la Flaque, la panique dans sa voix (la mienne, puisque ma conscience me parle avec ma voix telle que je la perçois dans ma tête) signifiait bien qu'elle n'aurait rien pu faire d'autre pour me "sauver" que de m'éjecter du rêve en me l'intimant violemment. La Flaque serait supérieure en pouvoir à ma conscience, ça fait flipper... Par contre, si elle n'était pas favorable à ce que je rencontre Beneth, elle ne s'y est pas opposée concrètement et m'a laissée découvrir une autre entité qui, au contraire d'être dangereuse, est des plus amicale. Apparemment le truc c'est que, maintenant que je connais mon Protecteur, il faut éviter que je le revoies. Pourquoi ?
Si, environ tous les ans (parce que j'ai vérifié, j'avais parlé du cauchemar de la Flaque sur ce blog, c'était l'an dernier, en mai), je perce un nouveau mystère de mes rêves, de leur contenu, de leur déroulement, de leurs entités étrangement extérieures mais intérieures à la fois... je vais bien finir par démêler tous ces secrets et à mettre de l'ordre et un raisonnement logique dans tout ça. Faut espérer, parce que tout ce que je vous dit là c'est tel que je le perçois, le ressens et autant vous dire que c'est perturbant, vu que je suis plutôt quelqu'un de rationnel.

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4 juillet - 1:19 PM

Cette nuit j'ai été traumatisée, mon fils est mort. D'accord, j'ai pas de fils. Mais dans mon rêve j'en avais un, et il est mort. On ne m'a ramené que son cercueil. Il y avait un gros F en bronze dessus parce qu'apparemment il s'appelait Florian, ça c'est ma conscience qui me l'a dit. Même qu'elle m'a montré son visage, c'était celui de ce gamin là :
 
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Du coup je me suis réveillée, en me disant "oh non, c'est pas possible... il est pas mort !" jusqu'à ce que je me rappelle que je n'avais pas d'enfant et que s'il mourrait, je ne mettrais pas une bougie parfumée sur son cercueil en disant "tiens, ça pue la rose, c'est pour toi."
Pour me rendormir après ça, c'était la cata. Parce que le môme, je savais que je l'avais vu dans Rome, la série que j'avais essayé de regarder l'autre jour, mais j'ai même pas terminé l'épisode un, c'était trop enquiquinant pour moi, je prefère Doctor Who. Depuis que j'ai regardé ce début d'épisode, et la majeure partie de la nuit, je n'ai pas arrêté de me demander où j'avais pu déjà voir cet acteur ; je savais que je l'avais déjà vu, dans un film, plus jeune.
Ce n'est qu'il y a cinq minutes que j'ai eu l'idée d'aller chercher sur internet. Et en fait, mon fils c'est Max Pirkis, le gosse (il a deux ans de plus que moi, mais c'est un gosse quand même, cette nuit c'était mon fils alors je dis ce que je veux) qui joue dans Master and Commander ! Celui qui se fait amputer du bras et qui veut être médecin chercheur. Du coup, ma conscience n'a pas précisé, mais si ça se trouve, le père c'est Russell Crowe !
 
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Voila, j'ai un fils mort qui voyage à travers les âges ; de la Rome antique aux guerres napoléoniennes ; un fils qui doit être en train de se décomposer dans son cercueil avec une bougie parfumée à la rose qui, apparemment, pue...

19 mai - 10:38 PM

Cette nuit j'ai enchaîné les cauchemars. A partir de 4 heures, et jusqu'à 1o heures, je me suis réveillée paniquée trois fois. Ce n'est pas peu. Normalement je dors d'un sommeil de plomb et me réveille à 8h. En tout cas, le premier de cette série est celui qui m'a le plus foutu les chocottes.

C'était la nuit. J'étais seule à la maison et devais tout fermer avant d'aller au lit. Je ne voyais rien. J'avais beau allumer toutes les lumières sur mon passage, il n'y avait dans l'air, presque palpable, qu'une pauvre lueur vedâtre qui ne permettait de distinguer que le minimum. Je suis allée à la salle de bain pour prendre mon lapin, mais quand j'en suis revenue, les portes étaient toutes fermées. Le chien était attaché avec sa laisse, mais à l'intérieur de la maison. J'ai commencé à avoir peur. Et je n'y voyais rien. Qui avait fermé les portes et attaché Phalcor ? Je serrai fort fort Sherlock contre moi en me disant que mon R. était sûrement là et qu'il devait être l'auteur de ces actes. J'ai alors entrepris de monter les escaliers. La télé, en bas, était allumée, une fois le lapin en haut, je devrais aller l'éteindre. Mais il faisait si noir que j'avais du mal à distinguer les marches. Redoutant ce que j'allais y découvrir, j'ai ouvert ma chambre et regardé mon lit. J'ai vu une longue masse noire, comme un duvet, sur mon lit, et qui a semblé se retourner pour me regarder. J'ai hurlé et jeté le lapin par terre dans ma frayeur. Alors qu'en même temps, je savais que ce truc était mon R.
Et je me suis réveillée.

C'est terrible. Ça peut paraître n'être qu'un rêve tout bête, ou du moins un cauchemar bien gentillet, mais j'étais traumatisée. Déjà on retrouve le gros topos de tous mes cauchemars ; il fait noir, et les lumières ne s'allument pas, ou très peu. Le pire, c'est que maintenant que ma mère a installé des ampoules économiques un peu partout dans la baraque, l'ambiance effroyable de mes rêves se retrouve dans la réalité, le soir généralement, et rien qu'en traversant la cuisine pour aller faire pipi, je panique. C'est bête.
Comme d'habitude il y avait ma voix-off qui commentait le rêve petit à petit. Mon coté rationnel s'immisçait pour relativiser la chose et atténuer le traumatisme. "Les lumières vont s'allumer, ce n'est qu'une question de secondes" (on retrouve le coup des ampoules économiques, avant je ne pouvais pas relativiser avec ça, je flippais encore plus, même si dans mon rêve je sais bien dans le fond que ce n'est pas une question d'ampoules...) ; "il doit y avoir R. dans la maison, c'est lui qui a tout fermé, pour t'avancer" (mais je ne vois pas pourquoi moi R. aurait été là, chez mes parents, sans que je le sache) ; "papa et maman ont dû laisser la télé allumée, tu redescendras avec la lampe de poche, elle doit bien marcher elle" (avec la télé on voit le coté The Ring et le poste qui s'allume tout seul) ; "il y a R. dans la chambre, il ne faut pas s'inquiéter, c'est lui sur le lit" (il n'avait pas de visage, impossible de le savoir, et puis il ne dormirait pas dans un duvet...)

La conclusion est que ce n'était pas lui.
R. n'était pas là.
Mais quelqu'un, une chose, noire et terrible, était là.
Quelqu'un, quelque chose, qui avait fermé les portes, retenu mon chien en bas en l'accrochant avec la laisse, laissé la télé allumée comme je le déteste pour me glacer d'effroi. Quelque chose qui m'attendait dans mon lit et m'a poussée à lancer par terre mon lapin si fragile et à hurler comme jamais.
Et si je ne m'étais pas réveillée ?
J'aurais vu ce que c'était.
Mon coté conscient a voulu me préserver. Il a choisi le réveil a l'horreur.

S'il n'y avait pas ma propre voix pour me soutenir parfois, ni pour me réveiller, car je suis sûre que c'est ce qu'il se passe dans ces cas là, je subirais des traumatismes nocturnes terribles. Le pire là-dedans c'est que tout est sous-entendu, rien n'est explicite. Mais le fait que ma voix me dise quelques mots réconfortants, je préssens que c'est l'inverse qui tient lieu de réalité. Dans le rêve bien sûr. 
Le pire là-dedans c'est que personne ne connaît mieux mes propres peurs que moi, que mon cerveau, d'où elles naissent. Et cette saloperie de voix qui fait mine de me soutenir la nuit,  n'est-elle pas ma pire ennemie, la source de toutes ces craintes ? C'est elle qui fait naître les rêves et joue avec mes nerfs... la garce.http://anicroche.cowblog.fr/images/rootsbycarnegriffd3a0ak6.jpg

<< Mais tant, ma chère, que tes rêves
N'auront pas refété l'Enfer,
Et qu'en un cauchemar sans trêves,
Songeant de poisons et de glaives,
Éprise de poudre et de fer,

N'ouvrant à chacun qu'avec crainte,
Déchiffrant le malheur partout,
Te convulsant quand l'heure tinte,
Tu n'auras pas senti l'étreinte
De l'irrésistible Dégoût,

Tu ne pourras, esclave reine,
Qui ne m'aime qu'avec effroi,
Dans l'horreur de la nuit malsaine,
Me dire, l'âme de cris pleine,
"Je suis ton égale, ô mon roi". >>
 
Et là, je me demande si c'est bien une bonne chose pour moi d'apprendre par coeur des poèmes de Baudelaire... En relisant cet article j'ai pensé à cet extrait de la seconde partie du "Madrigal Triste", sublime poème que j'ai appris ce week-end (en plus de "L'Héautontimouroménos.") Et du coup... le rapprochement ne me paraît pas banal. Bon, je cauchemardais déjà avant même de connaître notre ami Baudelaire, mais s'il a en tous points une influence bénéfique sur ma vie diurne et sur ma conscience, je me demande s'il ne serait pas un peu de mauvais augure concernant ma vie nocturne et mon inconscient...
Pardonnez s'il y a des fautes dans le poème, je n'ai pas appris les ponctuations et j'ai la flemme de vérifier. Je préfère aller capturer des Pokémons, pour me changer les idées...

24 février - 10:03 AM

Ce matin j'ai été réveillée par un cri, une plainte. Quelque chose de terrible, ça m'a glacé le sang. On aurait dit l'ultime hurlement d'une bête  l'agonie. Ni une ni deux, prise de panique, je me lève (à moitié à poil d'ailleurs), je dévale les escaliers, cours dans la cuisine ! Mon chien ouvre les yeux, me regarde du fond de son panier avec l'air de dire "on peut savoir ce qu'il se passe là ?"
Mon chien n'était pas mort, mais je l'avais réveillé. Je vais voir mon lapin (qui dort dans la salle de bain, sinon il passe la nuit dans mon lit et dès 4 heures du matin il réclame à manger - et en gros je dors mal), qui lui aussi va très bien. En même temps, lui n'aurait pas pu pousser un tel cri. Ni les tortues de ma mère, que je ne suis même pas allée voir du coup. Je suis remontée dans ma chambre, me suis rallongée pour réfléchir à tout ça. J'ai quand même eu les chocottes ; d'où pouvait bien provenir un tel bruit ?
Après ça j'ai repensé à la fois où ma chambre s'était mise à puer la putréfaction parce qu'on suppose qu'une grosse bête (genre chat ou big rat) était venue crever sous les combles, entre le toit et les murs de ma chambre (qui ne sont pas bien épais et laissent tout aussi bien passer l'air que les odeurs de charognes...) Je me suis dit qu'alors un chat avait pu venir mourir ce matin près de moi. Mais je l'aurais entendu avant quand même...
Puis j'ai repensé à ce drôle de rêve que j'ai fais une fois, qui se terminait par ma propre voix qui me disait : "attention, tu vas te réveiller, le coq va chanter", et là le coq chante en vrai et je me réveille. Le flip... j'ai dû passer une heure entière, tétanisée dans mon lit après ça. Les chocottes que j'ai eu encore cette fois-ci ; c'était tellement bizarre que mon rêve me prédise le futur proche, même s'il était tout à fait logique ! Après j'ai relativisé et me suis dit que c'est parce qu'en dormant j'ai entendu une première fois le coq chanter que j'ai eu cette réflexion comme quoi s'il chantait de nouveau je me réveillerais. J'espère que c'était bien ça, sinon j'ai des prémonitions ! (ha j'ai peur quand je parle de ces trucs là...)
Et donc, revenons à nous moutons, ou plutôt à nos hurlements sinistres d'agonisants ; je les ai donc mis sur le dos de mon rêve et de mon imagination, comme avec le coup du coq, je devais être entre le rêve et la réalité quand il s'est produit un truc, et mon cerveau n'a pas su où caser les informations !

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Et là mon père se lève, vient briser toute ma théorie en m'annonçant que lui aussi a entendu ce cri, deux fois même, à huit heures et demi, comme moi... Voila un article, et toute une réflexion (même si pas énormément poussée) d'anéantis. Tant pis, je publie quand même, ça intéressera peut-être quelqu'un qui se fait des gros trips terrifiants le matin au réveil !
N'empêche qu'on n'a aucune idée de la provenance de ce hurlement glaçant... j'en ai encore la chair de poule... Mais quel animal dans le hameau a pu émettre un tel son ? Pourquoi l'a-t-il fait ? Dans quel état est-il maintenant (mort ou vivant je veux dire) ? C'est pas rassurant tout ça...

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