J'ai voulu tente de dessiner un attrape-rêve pour utiliser des plumes qui me restent d'Ursula, ma petite poule morte en 2005, et dont je n'ai retrouvé que ces plumes justement. Du coup j'ai fait avec les moyens du bord :

Tout d'abord, vous prenez votre feuille blanche, taillez-là en format 18x24cm, si c'est aussi le format de votre cadre, bien évidemment. Ensuite, tracez au compas et crayon de papier autant de cercles que vous comptez en faire porter à votre attrape-rêve. Vous doublez ces cercles vers l'intérieur pour donner de la consistance à votre attrape-rêve, sinon c'est pas crédible, il ne peux pas supporter quoi que ce soit avec un support trop fin. Je sais bien qu'il n'a rien à supporter puisqu'il est sous forme de dessin, mais pour le réalisme, faut faire un effort.

Ensuite il faut tracer de petits ronds, pour imiter les perles qui ornent généralement les attrape-rêves. Un au milieu de chaque cercle et un au-dessus de chacun des petits, puis autant en-dessous de chaque cercle que vous voudrez mettre de plumes : regardez sur la photo du haut de l'article, vous comprendrez (je sais qu'il manque des perles pour le cercle du bas et les plumes, c'est que j'ai rajouté deux plumes une fois le truc terminé – et que j'ai la flemme de les rajouter maintenant). Une fois ceci fait, vous repasser les cercles et perles au feutre noir, de diamètre moyen. Et, bonne chance, vous faites ce que vous pouvez pour reproduire la "dentelle" de l'attrape-rêve, bonne chance bis ; faites déjà ça au crayon à papier, vous repasserez ensuite votre massacre (ne vous attardez pas trop sur le mien...) au feutre noir de diamètre fin. Et, à moins que vous ne vouliez un dessin uni, vous pouvez décorer les cercles comme vous le voudrez pour les colorier (ou non, remarquez) après.

Voila, le plus gros, et le plus chiant, du boulot est fait ! Maintenant il vous faut des crayons de couleur si vous voulez colorier (sans déconner ?) ; mais vous pouvez choisir des feutres, de l'aquarelle, de la craie, du henné, du caca de moineau... démerdez-vous (c'est le cas de le dire ! Haha ! – caca de moineau, démerder... ? Non ? Bon, une blague qui tombe à plat... vous en faites pas, j'ai l'habitude...) ! Munissez-vous d'une colle forte, j'en ai pris une liquide pour confection de bijoux mais vous pouvez prendre de la glue, ça reviendra approximativement, voire carrément, au même. Vous mettez une pointe de colle sous chaque dessin de perle et vous y apposez le bout de chacune de vos plumes ; du côté pointu de la plume hein ! (désolée, j'ai pas un vocabulaire ornithologique assez poussé pour tout exprimer comme il se doit).

Et puis voila ! Maintenant vous mettez ça dans un cadre ! Le con qui fout le verre au-dessus des plumes il n'a rien compris, mais si ça lui chante il peut toujours le faire. L'intérêt est d'avoir un truc encadré mais en trois dimensions avec les plumes qui ressortent. En gros vous devez mettre la feuille au-dessus du verre (vaut mieux le laisser dans le cadre, le verre, sinon ça va balloter).

Voila, j'espère que vous aimez, que ça vous a plu... et voila !
Avouez que j'ai quand même eu de l'inspiration pour avoir cette idée de création là : si ça m'arrivait tous les jours j'serais contente !

Avec mon tout nouveau masking tape, j'ai tout d'abord choisi de raccrocher toutes mes photos au mur, avec cet adhésif bariolé. Ensuite je me suis dit que j'allais faire quelque chose d'original ; j'ai cherché dans le bouquin mais il me faudrait plus de matériel ; j'ai cherché sur internet mais finalement rien en me plaisait trop. Puis j'ai eu une idée ! Étant quelqu'un qui a besoin d'être forcée à quelque chose pour le faire, et étant donné que je n'ai plus personne sur le dos pour me dire de bouger, j'ai inventé les petites pochettes surprises spécial fainéants !
Le système est simple : selon le temps que j'ai devant moi je peux choisir une pochette à 30 minutes, 45 minutes ou 1 heure. Et quelque soit ce qu'il y a à faire dedans, je n'ai pas d'autre choix que de m'y atteler pendant le temps imparti.
Du coup, si ça vous intéresse de faire un truc comme ça, je vous mets ici tout un tutoriel fait maison ; vous n'imaginez pas le temps passé à tout prendre en photo, à recadrer, retoucher, mettre en ordre... sans compter le temps que je vais mettre à écrire l'article. J'espère au moins que ça vous plaira, que j'aies pas l'air trop naze...

Pour faire des pochettes surprises, vous avez besoin de feuilles en format A4, de ciseaux, d'un crayon, d'une règle, de rouleaux de masking tape et éventuellement de feutres :

C'est parti les amis ! J'ai lancé la.galerie.de.Bildibrun ! Je n'ai pas repris et refait à neuf le vieux blog Bildibrun de base, qu'on avait fait avec les copines. J'ai ouvert celui-ci pour démarrer quelque chose de tout nouveau. Certains l'ont déjà découvert puisque le premier article de la galerie a été présenté sur la page d'accueil de Cowblog. Je lancerai le premier thème dès demain. En attendant je vous invite à aller voir sur ledit blog comment se déroulent les participations et à donner vos idées de thèmes pour les semaines à venir !

N'hésitez pas à faire tourner cette galerie qui est, apparemment, la seule de Cow', histoire qu'on rameute un maximum de monde ! Les illustrateurs (dessinateurs, peintres, photoshopeurs et compagnie) sont bien sûr invités à participer aussi. La galerie expose aussi hors de la photographie !
 

THÈME DE L'ÉVASION LANCÉ !
VOUS AVEZ JUSQU'AU 16 OCTOBRE POUR ENVOYER VOS DOCUMENTS !!
(vous renseigner sur le site en question)

Lucilie, n.f. Genre d'insectes diptères, comprenant les espèces appelées vulgairement mouches dorées de la viande. — Encycl. Les lucilies sont des diptères brachycères, remarquables par leurs couleurs métalliques éclatantes. On en connaît de nombreuses espèces, répandues sur le globe. La plus commune en France est la lucilia caesar vert doré, longue de 1 centimètre, abondante en été. Ses larves vivent dans les charognes ; ce sont les asticots des pêcheurs. Cette mouche pond parfois dans les yeux et les narines des hommes endormis, et occasionne l'affection appelée myasis.
(Selon le Larousse universel en 2 volumes, de 1923, acheté sur une brocante)
 

Si vous cliquez sur l'image, vous accèderez à une courte nouvelle, fantastique et pseudo-horrifique, que j'ai écrite l'an dernier.

Mon R, dont c'était l'anniversaire hier (là, je veux une ovation à grands cris de "Joyeux anniversaire môsieur le R. de Tristelune !" - ou pas), vient d'entamer sa deuxième année de master, dans l'édition. Du coup cette année il commence des cours d'informatiques et il découvre des trucs comme Adobe InDesign et autres logiciels de haut niveau ; alors il se lance dans la conversion de ses textes, ses nouvelles, en PDF. Mais attention, je cite "faut pas dire ça comme ça, après les gens vont croire que je suis un gugus qui est obligé de faire des études pour faire un PDF !" ce qui n'est pas le cas. Ce n'est pas un gugus, et il est bon en informatique sans ses cours. Je voulais juste parler de son parcours d'étudiant, c'est tout.
J'ai voulu tester et faire comme il a fait sur son blog : Machinations Démiurgiques. Du coup, j'ai converti mon texte en PDF et je lui ai fait une pseudo couverture, puis mon R. a hébergé ma "Lucilie" sur je ne sais pas trop quel site qu'il s'est créé, et vous n'avez alors plus qu'à cliquer sur l'image (puis à suivre la toute petite instruction que proposera la page d'accueil) pour avoir accès à un PDF de ma nouvelle. N'est-ce pas super cool ?
Bon, vous n'aimerez peut-être pas ce que j'écris, mais ça fait fun de mettre ça en ligne comme ça. Parce que j'ai déjà hésité à écrire des trucs et à les poster comme articles sur ce blog, mais ça fait moins pro' et c'est comme pour mes photos, j'ai toujours peur qu'on me les pique (d'où la grosse signature moche dessus). Que ce soit en photographie ou en écriture, je ne suis pas du tout là pour faire des trucs qui plaisent (à part à moi-même) et je ne pense pas qu'on puisse vouloir me les chiper, mais je suis très possessive et si c'est moi qui pond un truc (qu'il soit beau, moche ou inutile), je veux que tout le monde sache bien que c'est moi qui l'ai pondu... enfin voila quoi. J'ai mon petit orgueil quand même semble-t-il.

Enfin, si jamais vous lisez ma nouvelle, qui fait seulement deux pages, je veux bien que vous me disiez ce que vous en pensez.

En fait, j'y parlais de mon royaume. Vous savez, ce continent imaginaire, très médiéval, plein de tout ce que j'aime : rois, chevaliers, honneur, sang, guerre à l'arme blanche, magie et aventures. Je voulais vous dire que j'en avais bien terminé avec mes 58 arbres généalogiques (j'avais dit 57 dans mon précédent article sur le sujet, je réctifie, c'est 58), à part deux petites incohérences touchant deux familles distinctes, ils sont parfaitement coordonnés et bien remplis.

Géographiquement parlant, j'ai l'impression qu'on est au point. Une carte des reliefs, une carte des noms (de fleuves, de montagnes, de mers, de lacs, de plaines, de tout ce qu'on veut d'autre), une carte détaillée de chaque région, une carte des climats, une carte des duchés et une carte des vicomtés. Je sens qu'il va falloir que j'en fasse d'autres, pour d'autres détails à gérer, mais pour l'instant je pense que ça suffira.

Historiquement parlant, ça prend un minimum forme. J'ai une carte des conquêtes, des dates de fondations pour la capitale et pour chaque duché. Dans une période chronologique qui se découpe en 5 ères, suivant les familles royales au pouvoir. Mais ça s'arrête là, il me manque encore énormément de choses en ce qui concerne l'histoire.
D'ailleurs, j'aurais pu ranger ça dans les trucs géographiques, mais je viens (hier et aujourd'hui) d'attribuer une population à mes 58 duchés, ainsi qu'une superficie (en lieues au carré) et même une densité de population ! Travail éreintant, même aidée d'un tableur. Du coup on monte les comptes à environ 1 250 000 habitants, simplement dans les duchés (manquent encore les vicomtés et les comtés, mais je pense que je ne ferai pas autant dans le détail pour ceux-ci.)

Tout ça pour dire que j'avais commencé, depuis plus d'un mois déjà, à trouver des blasons pour mes familles ducales et à les dessiner. Mais mon R. m'a récemment acheté un livre sur l'héraldique et je me vois dans l'obligation de tout refaire (en plus beau du coup) parce qu'en fait tout était érroné, héraldiquement parlant, dans ce que j'avais produit.

J'ai passé la journée dessus, le temps passe vite quand on est absorbé dans son travail. Et tant mieux, car quand je ne pense pas à mes blasons, je pense à mon imminent départ et plus ça va moins j'ai envie de partir (je me dis qu'une fois que j'y serai je me sentirai mieux, mais l'idée de passer plus de trois semaines loin de R. et de Sherlock... pfiou, ça me rend triste...)
Du coup je n'ai plus le moral maintenant. Je m'en retourne à mes crayons de couleur et vous laisse avec le personnage le plus séduisant du monde.