15 mai - 10:49 PM

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★★★☆

Synopsis (provenance Allociné) : Malgré son enthousiasme, le Capitaine Pirate a beaucoup de mal à se faire passer pour une terreur des mers. Secondé par un équipage aussi peu doué que lui, le Capitaine rêve pourtant de battre ses rivaux, Black Bellamy et Liz Lafaucheuse, en remportant le prestigieux Prix du Pirate de l'Année.
Pour le Capitaine et son drôle d'équipage, c'est le début d'une incroyable odyssée qui, des rivages de Blood Island jusqu'aux rues embrumées de Londres, va les conduire d'épreuves en rencontres. S'ils vont faire équipe avec un jeune scientifique du nom de Charles Darwin, ils vont aussi devoir affronter mille dangers et tenter de survivre à la reine Victoria, qui voue une haine absolue aux pirates... En avant pour l'aventure !

Mon avis : Un très bon film d'animation à la Chicken Run ; en même temps c'est du même réalisateur. Parce que Chicken Run était le fruit de la collaboration entre Nick Park (Wallace et Gromit) et Peter Lord, qui a réalisé Les Pirates ! Bons à rien, Mauvais en tout. Ce film peut plaire aux tout petits comme aux grands, il est drôle, frais, imaginatif : quelle idée de transformer la reine Victoria à ce point ! Je n'ai pas grand chose à dire, à part peut-être que si je lui enlève une étoile c'est simplement parce que j'en attendais trop de ce film : Phy' m'avait dit que j'allais adorer, au point d'aimer ce film plus que Dragons, sauf que non. On passe un très bon moment en regardant Les Pirates ! tralala... mais si j'ai adoré Polly, le perroquet dodo, il manquait pour le coup un côté "poulet" à ce dessin animé ; je suis trop habituée à Ginger et Rocky, du coup ça me perturbe de ne pas les voir dans ce même type de film. Et puis je n'ai encore rien vu qui ne puisse égaler Dragons depuis que je l'ai découvert.
Mais sinon, allez voir Les Pirates ! Bons à rien, Mauvais en tout, ça vaut quand même sacrément le prix de la place de cinéma !

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8 mai - 8:26 PM

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Comme vous pouvez le constater... je me suis faite tatouer !!
Bordel ! Depuis le temps que je vous en parle vous devez vous dire : "enfin ! Elle en a mis du temps à se décider !"

Comme prévu, j'ai commencé par ma petite poule à la cheville. Et pour répondre pour la énième fois à "pourquoi une poule ?" :

• C'est mon animal préféré •
• Elle ressemble beaucoup à ma regrettée Ginger •
• Elle a été dessinée par Giru, cowblogueuse •
(tatouage à triple symbolisme)

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Ensuite, pour ceux qui se demandent, "pourquoi à la cheville ?", ce n'est pas par souci de le cacher, bien que je n'aie pas l'intention de faire des tatouages que j'aurai un truc ostentatoire, mais plus une collection des choses que j'aime sur ma peau. Si j'ai choisi cet endroit c'est parce que l'été de mes douze ou treize ans, j'ai vu que ma cousine portait un agneau à la cheville et que je me suis dit que moi aussi, un jour, je me ferai mon animal préféré à cet endroit. Bon, en fait c'était pas son animal préféré, mais l'agneau du Petit Prince de Saint-Exupery. C'était ma première idée de tatouage, je la traîne depuis plus de huit ans, elle est enfin concrétisée !

Je n'ai pas peur d'avoir un tatouage qui peut se voir. Je sais bien que ça peut être discriminatoire, autant que les piercings, les dreads ou autres déviances corporelles vis-à-vis d'une norme sociale qui fait franchement chier ; si je ne suis pas prise par tel ou tel patron parce que j'ai un tatouage qui se voit un peu trop, ou une coiffure qui lui déplait, je ne m'en porterai que mieux : hors de question d'être sous les ordres et l'influence de quelqu'un ne tolérant pas les goûts de ses employés. Et puis, qu'on se le dise, il vaut mieux penser que si on n'est pas pris pour des conneries comme ça, c'est qu'ils se seront bien plantés ; ils auront perdus de bons éléments pour des futilités. Et BAM !

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Et puis j'suis trop contente d'avoir enfin cette petite poule sur moi !
Je me suis faite tatouer par Chadia, qui bossait fut un temps avec mon libraire préféré, et qui fait sa formation de tatoueuse. Pour progresser elle a besoin de cobayes, et du coup, les dessins sont bons, les tatouages faits très proprement, et elle n'applique pas les mêmes tarifs que les tatoueurs déjà diplômés. 20€ pour un tatouage qu'un autre tatoueur de la ville voulait me faire pour 90€, franchement... hein ! Bon.
 
Niveau douleur, c'est carrément supportable !
Ok, ça fait mal. Mais ce n'est pas si horrible ! La douleur est en effet proche de celle de l'épilation à l'épilateur électrique : mais comme si on vous épilait longtemps au même endroit (ce qui n'est pilositairement pas humain, on est d'accord, d'où la différence de douleur quand même). Ce qui finit, vous vous en doutez, par quand même bien douiller. Mais pas de quoi pleurer. J'ai juste un peu braillé à un moment, mais c'est que quand on descend vraiment bas sur la cheville, ça douille carrément. Sans compter que j'ai que la peau sur les os, surtout au niveau des chevilles.

Sinon, y a Sandjack, qui le même matin s'est faite tatouer un pingouin à l'intérieur de la cheville, très bas vers le pied.
Tristelune et Sandjack, the girls with the chicken and the penguin tattoos !
Comment qu'on 'est trop fières !

4 mai - 2:42 PM

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★★★☆
 
Quatrième de couverture : "En 1187, le jour de son mariage, devant la noce scandalisée, la jeune Esclarmonde refuse de dire "oui" : elle veut faire respecter son voeu de s'offrir à Dieu, contre la décision de son père, le châtelain régnant sur le domaine des Murmures. La jeune femme est emmurée dans une cellule attenante à la chapelle du château, avec pour seule ouverture sur le monde une fenestrelle pourvue de barreaux. Mais elle ne se doute pas de ce qui est entré avec elle dans sa tombe...
Loin de gagner la solitude à laquelle elle aspirait, Esclarmonde se retrouve au carrefour des vivants et des morts. Depuis son réduit, elle soufflera sa volonté sur le fief de son père et ce souffle l'entraînera jusqu'en Terre Sainte.

Carole Martinez donne ici libre cours à la puissance poétique de son imagination et nous fait vivre un expérience à la fois mystique et charnelle, à la lisière du songe. Elle nous emporte dans son univers si singulier, rêveur et cruel, plein d'une sensualité prenante."

Mon avis : Un très bon livre, que mon père m'a offert pour Noël. Je l'ai commencé hier matin, je l'ai terminé hier soir : deux cents pages qui se lisent très facilement malgré un style recherché. On plonge au coeur d'un Moyen-Âge à la fois sordide et fantastique, aux moeurs étonnantes et poussant le fanatisme à l'extrême. Le contact étrange que développe Esclarmonde avec la religion, qui s'effritera au fur et à mesure de sa réclusion, jusqu'à même devenir un refus de Dieu et une simple volonté de plier les gens à sa volonté, ne sera finalement pas l'animation d'un souffle divin, mais seulement magique.
J'en viens donc à la seule et unique chose que j'ai regrettée dans ce roman : il n'est pas assez fantastique. En même temps, c'est du Carole Martinez, publié chez Gallimard mais pas dans les catégories fantastique ou fantasy. Je m'attendais pourtant à plus de magie, comme dans Le Coeur cousu, son premier roman. L'auteur développe dans Du Domaine des Murmures quelques aspects fantastiques, fondements de ce qui serait devenu des légendes au fil des siècles, et Esclarmonde s'adresse au lecteur moderne depuis la mort... mais ce doit être parce que je suis plus branchée fantasy, j'aurais pensé trouver plus de magie dans ce joli roman.

Un petit mot sur l'auteur : Vous allez dire que je fabule, mais non, j'ai bien aussi rencontré Carole Martinez ! Et j'en ai même un autographe ! Oui, je les collectionne. C'était au lycée, en classe de première. Je participais au Prix Roblès, qui récompense les jeunes auteurs grâce à leurs premiers romans. Cette année-là, on avait à choisir entre plusieurs livres, dont Le Coeur Cousu, pour lequel, après un vote interne des lecteurs, le lycée a donné sa voix. 
Avant la remise des prix, il y avait une interview de chaque auteur à La Maison de la Magie, à Blois, et après ça, tous les auteurs ont dû aller s'asseoir dans le public, le temps que soit remis le prix. Et à côté de qui vient s'asseoir madame Martinez ? De mouuuuaaa !! (enfin moi quoi). Elle était vachement gentille, toute stressée mais très contente d'écrire dans nos agendas pour l'occasion. Et vu que j'étais privilégiée car le plus à côté d'elle, j'ai eu plusieurs petits mots ! Je n'ai pas pris le temps de retrouver mon agenda pour les photographier, mais je me rappelle surtout du dernier qu'elle a écrit avant d'être appelée, car gagnante du prix : "Chère Laura, j'ai peur". Franchement ! Ça vaut tout l'or du monde ça !
Voila, fallait que je vous le raconte, parce que je suis trop fière ! Parce qu'en plus d'être talentueuse, cette femme est carrément sympathique, elle est très drôle (j'ai beaucoup aimé ses prises de parole quand elle était sur la scène), elle est belle... bref', elle a absolument tout pour elle ! Trop fière j'vous dis, trop fière que je suis de l'avoir rencontrée ! En plus, juste après, quand on allait boire du champagne au château de Blois (financé par la mairie pour aller avec la remise des prix), mon prof' de français m'a dit qu'on était un peu pareilles toutes les deux et que ça l'avait fait rire de nous voir côte-à-côte ! Ça tombe bien parce que c'est tout simplement le genre de femme que je voudrais être plus tard.
Bon, mon "petit mot sur l'auteur" est très subjectif, mais je sais juste que Dame Matinez est née en 1966, que Le Coeur cousu a fait un ravage et gagné beaucoup de prix littéraires et que voila : parce qu'aucun article Wikipédia ne lui est consacré et que vous savez pertinnement que je suis une grosse féinéasse (et maintenant vous savez aussi que pour moi l'orthographe de ce mot est un mystère...)
 
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"Vous avez étouffé la magie, le spirituel et la contemplation dans le vacarme de vos villes, et rares sont ceux qui, prenant le temps de tendre l'oreille, peuvent encore entendre le murmure des temps anciens ou le bruit du vent dans les branches. Mais n'imaginez pas que ce massacre des contes a chassé la peur ! Non, vous tremblez toujours sans même savoir pourquoi." (Du Domaine des Murmures, p.184)

2 mai - 11:12 PM

Aujourd'hui j'ai été réveillée par des câlins ; Sherlock était blotti contre moi et respirais en mode gros ronflements dans mon oreille ("psiiii - prrrt - psiiii - prrrt - psiiii - prrrt...").
J'ai lu au moins 150 pages de Téméraire, et je le terminerai sûrement cette nuit.
Cet après-midi j'ai fait un rêve de fous dans lequel j'étais capitaine d'une armée, et on s'apprêtait à livrer combat sous mes ordres (je crois qu'on était au Gouffre de Helm, à l'intérieur des remparts, et ça pétait de partout, y avait plein de feu, de fumée, de poussière... un enfer ! – putain c'était trop cool !).
Bon, après, en vrai, une fois réveillée quoi, j'ai passé la tondeuse : tout de suite moins grandiloquent.
J'ai sauvé un escargot.
Ha, et puis j'ai fait un truc, pour Dark Riketz, je vais pas vous dire ce que c'est, il serait au courant et ce serait pas du jeu.
Inspirée, j'ai dessiné sur un débardeur avec un stylo exprès pour le tissu : faudrait que je m'en trouve un mieux, de stylo, et que je me dégote un lot de marcels à pas cher pour faire ça plus souvent. Je vous le montrerai à l'occasion d'un futur article ; c'est pas du grand art mais moi j'le trouve cool.
J'ai joué pas mal de piano : ça fait tellement de bien de jouer sur un véritable instrument (synthétiseurs, maudits soyez-vous !)
De retour à Vauliard je m'ennuie quand même, bien que j'ai enfin l'occasion de faire tout ce que j'ai à faire (cette replongée dans la lecture me fait un bien fou). 

Mon Qwenn et sa bande de copains (je dis surtout "copains" même s'il y a des "copines" parce que je me retrouve souvent entourée d'une bande de geeks masculins), qui sont toujours dans le coin quand on est chez lui, me manquent : oui, seule ici je manque non seulement de mon Qwenn, mais aussi de tous ces grognements, rires, blagues à deux balles, geekeries tardives, verres de whisky et autres trucs essentiellement masculins auxquels on s'habitue tellement que quand tout à coup il n'y a plus rien, ça fait un sacré vide. Voila ce que j'appelle l' "effet anniversaire" : quand j'étais môme (au lycée surtout) on fêtait nos anniversaires avec ma bande de copines, on faisait les connes, parfois on buvait, on jouait pas mal, on rigolait comme des bananes, on faisait une soirée pyjama, mais au final fallait toujours se séparer. Et quel que soit l'anniversaire, quel que soit l'endroit, je finissais toujours pas me retrouver seule chez moi (only child power) et j'étais mais alors seeeeuuule... déprimée. Bon là je ne déprime pas. Je retourne à Tours dès vendredi alors tout va bien.
Et puis faut pas déconner, c'est surtout mon Qwenn qui me manque et je peux quand même communiquer avec sur internet quelques minutes dans la journée. Alors je vais pas me plaindre non !

Bon bah maintenant je vais aller dessiner, lire, et dormir, comme la majeure partie de ma vie !
 
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1 mai - 6:55 PM

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★★★★

Quatrième de couverture :
Qu'ont en commun Lambert Wilson, Adolf Hitler, le docteur Snuggles, Jésus-Christ, Philippe Katerine et James Brown ?
Ils participent tous à une folle aventure au coeur de Santa Anna, ville emblématique d'un monde devenu végétarien où la mode est d'être le sosie d'une personne célèbre, réelle ou fictive...
Sauf Tessa.
A la tête de l'agence Two Guns Company & Associates, elle enquête sur un mystérieux souvenir enregistré, sans se douter qu'elle va au-devant d'étonnantes révélations sur son passé. En compagnie, bien sûr, d'Ed Harris et de Crocodile Dundee.
Entre contemplation philosophique et action survoltée, Mimosa nous entraîne dans une saga improbable où se télescopent clones, doubles virtuels, intelligences artificielles, légendes du crime et du cinéma.

Vincent Gessler, comme dans Cygnis, confronte ses personnages au problème de l'identité et de la mémoire, jouant avec la forme même du roman. Une oeuvre surprenante et jubilatoire.

Mon avis : Le seul bémol, qui me fait ôter une étoile à ce bouquin, est le simple et subjectif fait que je m'attendais à quelque chose de plus "poétique". Cygnis m'avait étonnée par l'alliance de poésie et de SF qu'il offrait. Mais si le style est toujours excellent, car Gessler manie les mots, les tournures, les figures de style comme un as, l'histoire et son déroulement ne se prétaient pas tellement à un "style trop stylisé", et donc pas trop "poétique". Et c'est dommage que je me sois focalisée sur ce léger manque de poésie, parce que Mimosa vaut largement ses quatre étoiles !
C'est un livre de fou ! Bon, je pense qu'il ne faut pas trop le donner à lire à un novice en littérature de l'imaginaire, il pourrait se retrouver bien vite paumé et mettre le livre de côté ; pour débuter gentimment en SF le mieux c'est justement Cygnis, je ne dis pas ça pour rester focalisée sur le même auteur, j'en ai simplement la conviction depuis que j'ai lu son premier roman (j'avais dû faire un article dessus sur Tristelune.cowblog – cherchez pas, il n'existe plus). Donc, en effet, Mimosa propose des trucs assez alambiqués qu'on aura du mal à saisir si on n'a pas déjà été confronté à cette espèce de fiction. Pour avoir un avant-goût du genre avant d'attaquer Mimosa, vous devriez lire le recueil de nouvelles Ceux qui nous veulent du bien aux éditions La Volte.
Avec ses très nombreuses références au cinéma et à la musique, Gessler ponctue son roman d'un humour des plus drôles. J'étais seule dans le train quand j'ai failli exploser de rire avec une allusion au Caméléon (la série avec le génie qui change d'identité – j'suis fan depuis que je suis gamine) :

" ''Je m'appelle Jean-Yves, mais vous pouvez m'appeler Jarod.
[...]
– C'est quoi votre métier Jarod, vous êtes drôlement déguisé.''
Jean-Yves caresse ses antennes d'un air dépité.
''Publicité. Pour payer mes études de médecine.
– Vous êtes vraiment docteur ?
– Moui... pour la journée.'' "
 
Ne soyez pas frustré si vous ne connaissez pas. Il y a énormément de références dans Mimosa, tellement qu'une seule personne ne peut pas toutes les repérer, mais chacun en trouvera de nouvelles. Sinon l'ambiance est délirante, le temps est celui du présent (ce qui nous entraîne encore plus dans les scènes d'action), le langage est commun, familier, voire vulgaire et les personnages très humains et donc d'autant plus  attachants. En gros, un livre terrible, à lire absolument si on aime la science-fiction !
Et sinon, il y a un blog dédié à Mimosa : www.mimosaworld.wordpress.com ; je sais pas si c'est Gessler ou l'éditeur chargé de ce bouquin aux éditions l'Atalante qui s'est tapé un trip à la fin du bouquin, mais l'invitation à aller sur le blog de Mimosa est vachement poilante !

Ouais puis, nan, finalement j'ai pas pu me résoudre à ne mettre que 3 étoiles pour ma subjectivité à la con, il mérite trop ses 4 étoiles !

Rocky Road to Dublin by The Dubliners on Grooveshark

Un petit mot sur l'auteur : Alors, j'vais encore me la jouer et vous dire que j'suis trop fière, parce que j'ai eu l'occasion de voir Vincent Gessler aux Utopiales de Nantes en 2010 et de lui faire dédicacer Cygnis ! Et vous savez quoi ? Comme il ne savait pas quoi écrire dans mon cahier spécial dédicaces d'auteurs, il m'a dessiné une marmotte ! Moi, moi, moi, moi, j'ai une marmotte de Gessler !! Tralalalère !
Bon, place aux informations de Wikipédia : "Vincent Gessler vit à Genève, où il a suivi des études de Lettres (Master spécialisé en histoire médiévale). Ce «passionné d’histoire et de sciences» a, entre autres, pour centres d'intérêt l'archéologie et le jeu vidéo. Dans sa jeunesse, il affirme avoir baigné « dans
la proximité des livres et de la lecture », mais il décide de se consacrer à l'écriture après «le décès d’un ami très proche» avec lequel il avait un «imaginaire commun». À l'issue d'un concours de nouvelles, c'est dans la revue suisse Archipel qu'il voit son premier texte publié en 2003. Dans ce numéro intitulé
 "Îles sur le toit du monde" et sous-titré "Une anthologie romande de science-fiction", son texte La déesse Blanche s'inscrit, selon Patrick Gyger, dans «l'avènement d'une nouvelle génération d'acteurs de la scène SF locale».
Son premier roman, Cygnis, paru en 2010 aux éditions L’Atalante, a été nominé à une dizaine de prix littéraires et a reçu le prix Julia Verlanger 2010 et le prix européen Utopiales des pays de la Loire 2010. Ce récit post-apocalyptique, poétique et humaniste, est inspiré par des «récits mythologiques» et des «figures médiévales». Parmi ses influences pour ce roman, il cite notamment des auteurs de l'antiquité comme «Jules César, Pline, Tite-Live et Sénèque». Le roman est également un succès public puisqu'il figure dans les meilleures ventes de littérature de l'imaginaire en 2010 et que deux réimpressions ont eu lieu en moins de deux ans.
En 2010, il travaillait pour l'Université de Genève, dans le domaine de la formation continue."

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