Il est temps que je vous parle d'un artiste que je connais maintenant depuis un bout de temps et que j'ai découvert au lycée grâce à Hildebear. Soit il y a entre 5 et 7 ans. L'artiste en question c'est... Maliki !

En réalité, c'est un homme, mais en prenant pour personnage principal de ses historiettes une fille aux cheveux roses appelée Maliki, on a vite fait de confondre les deux ; je ne dirais pas que j'ai été choquée le jour où j'ai appris que le dessinateur de Maliki était un homme, mais je suis quelque peu tombée des nues. D'autant plus que les strips de Maliki sont à la base des narrations dessinées de la vie de tous les jours, ce qui aide à la confusion.

Maliki on l'a d'abord connue avec son site : Maliki.com. Puis un beau jour, au rayon manga d'une librairie de Blois, je suis tombée sur Broie la vie en rose, premier opus des versions papier des strips de Maliki. Et bien, je l'ai acheté sans me poser de questions (oui, même à quinze ans je dépensais tout mon argent de poche dès que je l'obtenais...) Plus tard j'ai acheté, au fur et à mesure qu'ils sont sortis, les deuxième et troisième albums qui condensaient les strips que l'auteur postait tout au long de l'année sur internet. Puis je n'y ai plus fait attention. Jusqu'à ce que Dark Riketz en parle dans un article. Et je n'avais pas refait attention à mes albums jusqu'à ce que ce même cowblogueur m'envoie Prismatique, le cinquième tome des aventures de Maliki, par courrier ! Il est carrément chouettement gentil !

J'ai donc eu le plaisir de retrouver Maliki, Fang, Féanor et Fleya, Lady... dans un album toujours ponctué d'anecdotes croustillantes, romancées et fantastiquifiées (je veux dire : rendues fantastiques) et toujours aussi drôles : entre l'arrivée de Junkie la jonquille carnivore, les terreurs de jeunesse avec les zombies à la sortie de la douche, le retour de John le Normand. Le tout agrémenté de quelques récits accompagnés de photos... Du pur Maliki !


Entre certains strips il y a certains dessins, des fanarts de Maliki, faits par des gens divers et variés, qui sont publiés. Parmi eux il y a notamment l'un de Charln, une artiste cowblogueuse que nombre d'entre vous connaissent !


Conclusion ; mettez-vous à lire les aventures de Maliki, félicitez Charln pour son super dessin et sa publication dans le dernier tome de Maliki, et remerciez cent fois avec moi notre ami Dark Riketz pour son super cadeau !

J'ai beau être en vacances, je ne trouve toujours pas le temps de tout faire.

En même temps, je crois que je suis narco' je sais pas quoi : je dors tout le temps. Et nécessairement, plus je dors plus j'ai envie de dormir. Wikipédia dit des narcoleptiques : "La narcolepsie, ou maladie de Gélineau, est un trouble du sommeil chronique, ou dyssomnie, caractérisée par un temps de sommeil excessif durant lequel un individu ressent une extrême fatigue et peut possiblement s'endormir durant un temps mal-adapté, comme au travail ou à l'école. Les narcoleptiques souffrent habituellement de troubles nocturnes du sommeil et d'un temps de sommeil anormal, qui prête à confusion avec l'insomnie. Lorsqu'un narcoleptique s'endort, il fait généralement l'expérience d'un sommeil paradoxal durant une dizaine de minutes ; alors que la vaste majorité des individus n'atteignent le sommeil paradoxal qu'après 90 minutes." Or, j'ai un bon sommeil, je dors beaucoup, certes, mais d'un sommeil bien profond, blindé de rêves en tous genres... c'est juste que j'ai beau dormir plus de 10 heures par nuit, dès que j'ai pris mon petit déjeuner je n'ai pas la force de faire quoi que ce soit, je veux retourner me pieuter ; en cours (ouf c'est terminé) j'avais toujours envie de dormir, jusqu'à parfois m'endormir carrément ; mes siestes se prolongent souvent bien trop tard ("Ha, tu t'es réveillée ! Il est 19 heures..."). C'est pas de la narcolepsie dans la mesure où même si ça peut me prendre d'un seul coup je peux résister à la fatigue (à moins d'avoir la possibilité de m'endormir sur une table ou de poser ma tête sur l'épaule de quelqu'un – j'ai trouvé un oreiller humain très confortable, un copain de Qwenn, mais par contre je crois que l'oreiller en question est lui-même un véritable narcoleptique...) Conclusion je dors trop, je sais pas pourquoi, et c'est chiant, et ça m'empêche de faire tout ce que j'ai envie de faire maintenant que je suis en pseudo grandes vacances.

Depuis lundi après-midi j'ai un putain de mal de dents, qui s'atténue au fur et à mesure, mais ça douille quand même. Caries sur toute la longueur canine-molaire du côté droit ? (j'espère pas) Plombage qui a sauté ? (ça n'explique pas que la douleur soit diffuse) Ou bien dent de sagesse qui emmerde tout le monde à pousser ? (ça fait plus d'un an qu'elle sort progressivement de la gencive, pourquoi elle attend que je sois en vacances pour me faire chier celle-là ?) Toujours est-il que mes questions resteront sans réponse jusqu'au 15 mai, oui, le 15 mai est la date la plus proche à laquelle j'ai pu obtenir un rendez-vous chez le dentiste ; si j'avais fouiné mieux j'aurais trouvé plus tôt, mais je tiens à mon dentiste mono-sourcilien habituel. Il ne panique pas quand je pleure alors qu'il allume la roulette ; ça l'inquiétait quand il se demandait pourquoi je pleurais pour un plombage alors que j'avais 13 ans, maintenant il sait qu'il n'y a rien à faire et que même à 21 ans je vais pleurer quand il va me dire qu'il a un truc à réparer, une piqûre à faire, ou je ne sais quoi d'autre...

Je sais qu'il ne s'agit pas de roulette de dentiste, hein !
Suffit de me prendre pour une cinglée...

J'ai reçu un colis ce midi : faut que je vous en dévoile le contenu et l'expéditeur dans un article dédié à l'artiste en rapport avec le tout. C'est sibyllin je sais, mais ça entretient un certain suspens, non ?
Il y en a même un autre que j'attends, d'un autre destinateur, mais ça je vous en parlerai aussi en temps voulu.

Samedi 5 mai j'ai rendez-vous à 9h30 pour me faire tatouer ma petite poule à la cheville : à votre avis, je prends un petit-déjeuner avant et prends le risque de tout vomir dans le laboratoire ou bien est-ce que je m'abstiens de manger mes Chocapics et cours le risque de m'évanouir ? Enfin j'dis ça mais ça me fait carrément pas peur en fait. J'ai peur du dentiste, mais pas de la tatoueuse. J'ai peur des piqûres, mais pas des tatouages. En plus Sandjack vient avec moi ce jour là puisque juste après moi elle se fera tatouer un petit pingouin à la cheville aussi ; c'est un pingouin que Criquet a pour habitude de dessiner apparemment, alors j'imagine comme ça peut lui tenir à coeur. Moi mon Phy' refuse d'écrire le vers de Baudelaire que je dois me faire tatouer à la cuisse, alors que ce tatouage est finalement indissociable de son écriture... fait chier. C'est bête parce que c'est inutile mais si je pouvais faire signer une pétition par beaucoup beaucoup de gens qui me connaissent afin de pousser Phy' à m'écrire, je pourrais le faire. Il s'agit juste me l'écrire, c'est pas la mort non plus ! Et c'est pas une infidélité à sa nouvelle copine (bande de traîtres !... Moi ? rancunière ? Peut-être un peu...), ni à mon Qwenn, ça ne signifie rien quant à notre relation qui est belle et bien terminée (c'est bon hein, j'ai bien encaissé le coup, j'ai mis du temps à m'en relever mais j'ai bien vite compris l'indubitabilité de son départ et finalement vous aurez compris que je ne m'en porte que mieux : amoureuse d'un gus à croquer, capable de l'aimer sans freiner ma propre personnalité, j'ai recouvré la liberté ! Le verbe recouvrer est bien dans le dictionnaire, il est fréquemment employé en littérature, ne me faites pas d'esclandre). Du coup je ne comprends pas trop pourquoi il ne veut pas m'écrire mon vers, mais je ne perds pas espoir, au pire je retrouve des mots de lui (ceux qu'il n'a pas balancé, ceux que je n'avais pas eu le temps de mettre dans la boîte, dont il a carrément jeté le contenu... le piouf) et je me débrouille pour copier ça au mieux. Je veux des tatouages qui aient du sens, surtout pour moi : je ne me fais pas tatouer pour me faire tatouer, parce que c'est cool et tout (bon, c'est aussi pour ça, j'avoue, mais pas que), je vais me faire tatouer des choses que j'aime et qui s'étendront symboliquement à un ensemble d'autres choses. Ma poule par exemple : elle représente mon fanatisme pour les poules en général, elle ressemble beaucoup à Ginger, mon adorée qui était si belle, et a été dessinée par Giru, qui n'est autre qu'une cowblogueuse et donc par extension une représentation du monde virtuel dans lequel j'évolue depuis des années. Je sais, le lien vers son blog est mort maintenant, mais pour la forme je le mets sur son nom. Je veux porter sur moi des choses que j'aime et qui ont un sens plus profond que le simple tatouage, mais je suppose que vous me comprenez, je vais arrêter de m'attarder là-dessus.

Demain je retourne à Tours, mon Qwenn vient me chercher à la gare, on va déjeuner, ensuite il faut que je passe à l'Imaginaute (supeeer-libraiiire !) pour acheter le Brisingr qu'il m'a mis de côté (troisième tome de la sage Eragon : oui j'aime la littérature de fantasy plate pour jeunes ados, et alors ? Et encore... vous ne connaissez pas le pire ! La révélation attendra la fin de la saga dont il faut que je vous avoue la lecture, héhé... j'ai peur, vous allez me lyncher...), il faut que je passe à Medusa voir si JB peut m'enlever la prothèse du lobe et la remplacer par un piercing que j'achèterai sur place, normalement ça devrait être déjà cicatrisé. Pour le trou du cartilage j'attendrai encore, il me fait toujours un peu mal. Je crois que j'avais d'autres trucs à faire en ville mais j'ai oublié.

Puis je fatigue, je vais au dodo. C'est un coup à ce que je m'endorme sur mon PC. Heureusement que je ne suis pas narcoleptique, ce serait quoi sinon ?
 

J'ai voulu tente de dessiner un attrape-rêve pour utiliser des plumes qui me restent d'Ursula, ma petite poule morte en 2005, et dont je n'ai retrouvé que ces plumes justement. Du coup j'ai fait avec les moyens du bord :

Tout d'abord, vous prenez votre feuille blanche, taillez-là en format 18x24cm, si c'est aussi le format de votre cadre, bien évidemment. Ensuite, tracez au compas et crayon de papier autant de cercles que vous comptez en faire porter à votre attrape-rêve. Vous doublez ces cercles vers l'intérieur pour donner de la consistance à votre attrape-rêve, sinon c'est pas crédible, il ne peux pas supporter quoi que ce soit avec un support trop fin. Je sais bien qu'il n'a rien à supporter puisqu'il est sous forme de dessin, mais pour le réalisme, faut faire un effort.

Ensuite il faut tracer de petits ronds, pour imiter les perles qui ornent généralement les attrape-rêves. Un au milieu de chaque cercle et un au-dessus de chacun des petits, puis autant en-dessous de chaque cercle que vous voudrez mettre de plumes : regardez sur la photo du haut de l'article, vous comprendrez (je sais qu'il manque des perles pour le cercle du bas et les plumes, c'est que j'ai rajouté deux plumes une fois le truc terminé – et que j'ai la flemme de les rajouter maintenant). Une fois ceci fait, vous repasser les cercles et perles au feutre noir, de diamètre moyen. Et, bonne chance, vous faites ce que vous pouvez pour reproduire la "dentelle" de l'attrape-rêve, bonne chance bis ; faites déjà ça au crayon à papier, vous repasserez ensuite votre massacre (ne vous attardez pas trop sur le mien...) au feutre noir de diamètre fin. Et, à moins que vous ne vouliez un dessin uni, vous pouvez décorer les cercles comme vous le voudrez pour les colorier (ou non, remarquez) après.

Voila, le plus gros, et le plus chiant, du boulot est fait ! Maintenant il vous faut des crayons de couleur si vous voulez colorier (sans déconner ?) ; mais vous pouvez choisir des feutres, de l'aquarelle, de la craie, du henné, du caca de moineau... démerdez-vous (c'est le cas de le dire ! Haha ! – caca de moineau, démerder... ? Non ? Bon, une blague qui tombe à plat... vous en faites pas, j'ai l'habitude...) ! Munissez-vous d'une colle forte, j'en ai pris une liquide pour confection de bijoux mais vous pouvez prendre de la glue, ça reviendra approximativement, voire carrément, au même. Vous mettez une pointe de colle sous chaque dessin de perle et vous y apposez le bout de chacune de vos plumes ; du côté pointu de la plume hein ! (désolée, j'ai pas un vocabulaire ornithologique assez poussé pour tout exprimer comme il se doit).

Et puis voila ! Maintenant vous mettez ça dans un cadre ! Le con qui fout le verre au-dessus des plumes il n'a rien compris, mais si ça lui chante il peut toujours le faire. L'intérêt est d'avoir un truc encadré mais en trois dimensions avec les plumes qui ressortent. En gros vous devez mettre la feuille au-dessus du verre (vaut mieux le laisser dans le cadre, le verre, sinon ça va balloter).

Voila, j'espère que vous aimez, que ça vous a plu... et voila !
Avouez que j'ai quand même eu de l'inspiration pour avoir cette idée de création là : si ça m'arrivait tous les jours j'serais contente !

★★★★

J'ai découvert Soap & Skin grâce à Bernoird-au-Chignon (cherchez pas, vous connaissez pas, c'est un ami de mes amis) avec qui on parlait d'improvisation au piano, de Sigur Ros et autres magnificences musicales. Du coup j'avais écouté de que j'avais pu, soit Spiracle, de son premier album, Lovetune for Vacuum :

Vous tirerez de votre écoute la même conclusion que moi : c'est splendide. Du coup, comme son nouvel album, Narrow, est sorti au début de l'année, j'étais bien obligée de l'écouter. Et Bernoird avait raison, cet album est une tuerie. L'album est disponible en entier sur Grooveshark, mais commencez par écouter sa reprise de Voyage Voyage... reprise magique d'une chanson quelconque.

Puis écoutez Boat Turns Toward the Port, avec ses influences à la Björk. Chanson servie par un instrumental qu'elle gère seule, avec piano et ordinateur, comme pour l'ensemble de ses chansons.

Maintenant que vous avez écouté ça, allez écouter le reste directement sur Grooveshark, ou achetez-vous l'album, personnellement je ne vais pas tarder à le faire, il y a des perles qu'on se doit d'avoir en matière brute et pas seulement en mp3. Et n'hésitez pas non plus à écouter son premier album, qui est tout aussi prenant.


Sinon, je vous mets l'ensemble de l'article Wikipédia qui est proposé sur elle :

"Anja Plaschg grandit dans le petit village de Gnas au sud de la Styrie, où ses parents élèvent des porcs charcutiers. Dès six ans, elle joue du clavier. À 14 elle débute le violon et se tourne parallèlement vers la musique électronique. À Graz elle fréquente les meilleurs cours de graphisme avant d'abandonner à l'âge de 16 ans pour s'installer à Vienne. Là, elle entame des études artistiques à l'Académie des Beaux-Arts de Vienne dans la master class de Daniel Richter et abandonne de nouveau ce cursus à l'âge de 18 ans. Xiu Xiu, Cat Power, Björk, Nico, Aphex Twin comptent parmi ses principales influences musicales, ainsi que des compositeurs classiques tels Sergueï Rachmaninov ou Arvo Pärt.

Après seulement quelques apparitions sur scène "avec des ballades passionnées au piano, souvent ponctuées de bref hurlements", Anja Plaschg est très vite qualifiée d'enfant prodige". Elle apparait en 2008 dans la pièce de Werner Fritsch Nico - Sphinx aus Eis, où elle interprète le rôle de la chanteuse allemande Nico, d'abord à la Sophiensæle de Berlin, puis au Brut de la Maison des artistes de Vienne, et y joue entre autres le morceau titre de son premier EP Janitor Of Lunacy.

Son premier album, Lovetune for Vacuum, sort en mars 2009. Il reçoit un excellent accueil critique et se positionne dans le top 10 des charts autrichiens, ainsi que dans les charts allemands, belges et français. Des journalistes musicaux la considèrent d'ores et déjà comme la nouvelle star de la pop autrichienne."
 

Cimer Jack !

Puisque j'ai pas eu le temps ni la possibilité de vous parler de tout ce dont j'aurais voulu vous parler ces dernières semaines, je vais tester l'article photographique ; avec des photos en désordre, parce que j'ai vraiment pas envie de m'enquiquiner ! Comment ça je suis pas une blogueuse cool ? Nan mais dites !

J'ai assisté à l'agonie d'une guêpe et donc au phénomène plutôt intéressant, bien qu'inutile et je suppose simplement nerveux, d'expulsion de dard.

J'ai quasiment pas touché à mon synthé' parce qu'il est toujours plus affligeant de constater qu'on ne sait pas jouer sur des machins en plastique alors qu'il suffit de patienter jusqu'à retrouver son véritable piano, ce qui est désormais le cas puisque je suis rentrée chez mes parents.

Ils ont fait des travaux à Vauliard : maintenant, il y a une seule de toutes les rues du hameau qui est goudronnée comme il faut. Sauf qu'ils ont carrément fait des trottoirs (avant ça n'existait pas chez nous) et mis des panneaux de circulation. Sur une ruelle ! Mais nulle part ailleurs ! Le gros WTF de la campagne.

Comme on était à court de croquettes jeudi soir j'ai dû courir à l'animalerie avant qu'elle ne ferme et comme ils n'avaient plus de HamiForm pour lapin j'ai choisi d'essayer une nouvelle marque de granulés. C'est exceptionnel parce que pour 5€ les même pas 10 repas, faut pas déconner... Cela dit, on a à faire à des croquettes colorées, en forme de coeurs, de fleurs... et qui sentent les herbes de provence. Puis Poup' les adore !

J'ai voté pour la première fois. Et vous pouvez constater que c'était pas pour la fille Le Pen ! Restons moraux tout de même !

Y avait des fleurs dans les cerisiers japonais. "Je te donne une fleur de sakura. – Une quoi ? – Une fleur de sakura..." (jeux à boire, quand vous nous tenez...)

J'ai fait une photo de Qwenn et moi qu'il ne supporte pas et que j'ai pas le droit de mettre en photo de profil sur facebook... c'est chiant les garçons... (il se trouve affreux sur cette photo, alors que je le trouve terriblement mignon... qui a tort, qui a raison ?)

A l'anniversaire de Sandjack il y avait Hild' et ses deux doigts tranchés dans le mou par un cutter.

Avec les petiotes je me suis pas mal livrée à des trocs de cartes à jouer et autocollants Pokémon pour compléter ma collection des 151 premières cartes à jouer. Et puis Tom' m'a refilé pas mal de cartes qui me manquait et bah... c'est trop cool !!!

Y avait aussi "Pierrot, mon gosse, mon frangin, mon poteau" à l'anniv' de Sandjack.

Et le pompon ? Après les partiels de jeudi on s'est fait une petite soirée avec les gens de la classe, dont ce cher Lulu (à gauche). Je me vends ? Tant pis. Et Qwenn (à droite, évidemment) nous a ensuite rejoint. C'était l'occasion de démystifier Lulu aux yeux de Qwenn. Il est terrible ce Lulu, il n'a rien demandé à personne, il n'est au courant de que dalle, mais même Phy' s'en méfiait. Sur mes deux amoureux (le parti et le présent) les deux sont rarement ravis de m'entendre parler de lui. En tout cas moi j'étais contente de les voir là tous les deux : entre l'un qui m'a inconsciemment aidé à marcher droit pendant quelques semaines et l'autre qui m'a carrément relevée et prise sur son dos. Et mon Phy' qu'il faudrait remercier de m'avoir quitté ; sans quoi je n'aurais jamais rencontré Qwenn ni osé parler plus que ça à Lulu, et sans quoi j'aurais été mortifiée en poireautant seule avec lui dans la rue en attendant les autres. Cela dit, il se fait déjà harceler par une groupie, heureusement que j'y ai pas rajouté mon grain de sel !

Edit du lendemain : Ça manque de photos des gens de ma classe je trouve. Et comme de toute façon il faudra que je les mette sur Facebook je peux bien les mettre là, il y a au moins un minimum de droits rattachés à ces photographies quand elles sont ici.

C'est là que je constate que je ne vous parle jamais de mes keupins de classe. Vous ne connaissez pas Élo' La Fleur, ni Mél' la tueuse de petits profs ! Pourtant il y en a à dire des choses sur ces cocottes là. Depuis que je suis sur Cowblog je ne parle plus trop de mes amis ; en même temps, quand j'étais au lycée je ne pouvais parler que d'eux et mes blogs leur étaient en majeure partie consacrés, c'est pour eux, pour m'amuser avec eux (ou disons plutôt elles, j'avais pas d'ami masculin), pour les tenir au courant de ce qui se passait dans ma tête, notamment avec ce que je n'arrivais pas à dire à haute voix. Mais au fur et à mesure les visites sont venues de l'extérieur et je n'avais plus grand chose à dire sur mes amies, qui savaient tout d'elles-mêmes, déjà. Maintenant que j'ai bien digressé, vous savez pourquoi je ne parle pas souvent des vrais gens.

Par contre Candoo' vous la connaissez à force : je ne peux pas ne pas en parler, elle est avec moi tous les jours sur les bancs de la fac !

Encore une photo avec Qwenn parce que hein ! L'est mignon mon copain ! Et parce que j'adore la tête de Mél' ; c'est là qu'on voit le côté tueuse de petits profs !

Mesdemoiselles Bordeau-Prune et Billes-Bleues, imprenables ensemble sur une même photo. J'ai dû faire un montage parce que quand l'une ne se cache pas l'autre bouge et finit toute floue, et vis-versa.
Voila, z'avez vu les compagnons de classe avec lesquels je passe le plus de temps (mais pas énormément, j'ai envie de dire "pas assez", quand même). Ceci me donne-t-il un côté plus humain et moins virtuel ? Je ne pense même pas que ça change quelque chose.
 

Du coup il était long mon article photographique !