Vous auriez vu leur tronche à tous quand j'ai fermé mon sac et que je me suis levée pour aller émarger au bureau de la prof' en lui rendant ma copie : on aurait dit que j'étais Jésus ! Je n'ai pourtant rien fait d'extraordinaire ; le contrôle commençait à 9h35 et devait finir à 11h, je suis sortie à 1oh2o, ça vous choque ?
C'était de l'anglais ! Le premier exercice ; oui, parce qu'on est tombés sur une prof' cintrée ce semestre, et elle ne nous trouve pas assez intelligents – bah oui, on est en Lettres alors on est cons – pour faire ces éternelles versions et réponses aux questions type BAC ; donc le premier exercice était une suite de 4 phrases à trous, dans lesquels il fallait conjuguer le verbe to make au présent simple ou progressif, ou bien au présent perfect, ou bien au prétérit simple ou progressif, j'aurais dû travailler ça hier, mais j'avais la flemme, et j'ai tout mis au pif, au feeling. J'ai fait pareil pour les exercices 2 et 3 : "ajouter, s'il y a besoin, une particule au verbe" et "traduire les phrases" (avec des phrasal verbs – si vous ne savez pas ce que c'est, c'est pas grave ! Normalement, si vous faites ça au feeling, tout va bien et puis si vous n'êtes pas trop cons, vous n'avez pas besoin de savoir quoi que ce soit sur le sujet...) En tant que quatrième exercice, on avait à traduire un article de journal, j'ai fait un brouillon et j'ai pondu ça au propre, j'ai relu vite fait et je me suis barrée ; après tout, j'avais fini, pourquoi est-ce que je serai restée encore 4o minutes à regarder les autres gus se creuser la cervelle ? Surtout que dans ce genre de contrôles, quand tu te poses des questions et que tu réfléchis vraiment, c'est là que tu donnes les mauvaises réponses.
Tout ça pour dire que j'aurai normalement au moins la moyenne et que j'espère que j'aurai un meilleur prof au prochain semestre. Bon, sur ce, je vais lire Manon Lescaut, j'ai un contrôle vendredi...
C'était de l'anglais ! Le premier exercice ; oui, parce qu'on est tombés sur une prof' cintrée ce semestre, et elle ne nous trouve pas assez intelligents – bah oui, on est en Lettres alors on est cons – pour faire ces éternelles versions et réponses aux questions type BAC ; donc le premier exercice était une suite de 4 phrases à trous, dans lesquels il fallait conjuguer le verbe to make au présent simple ou progressif, ou bien au présent perfect, ou bien au prétérit simple ou progressif, j'aurais dû travailler ça hier, mais j'avais la flemme, et j'ai tout mis au pif, au feeling. J'ai fait pareil pour les exercices 2 et 3 : "ajouter, s'il y a besoin, une particule au verbe" et "traduire les phrases" (avec des phrasal verbs – si vous ne savez pas ce que c'est, c'est pas grave ! Normalement, si vous faites ça au feeling, tout va bien et puis si vous n'êtes pas trop cons, vous n'avez pas besoin de savoir quoi que ce soit sur le sujet...) En tant que quatrième exercice, on avait à traduire un article de journal, j'ai fait un brouillon et j'ai pondu ça au propre, j'ai relu vite fait et je me suis barrée ; après tout, j'avais fini, pourquoi est-ce que je serai restée encore 4o minutes à regarder les autres gus se creuser la cervelle ? Surtout que dans ce genre de contrôles, quand tu te poses des questions et que tu réfléchis vraiment, c'est là que tu donnes les mauvaises réponses.
Tout ça pour dire que j'aurai normalement au moins la moyenne et que j'espère que j'aurai un meilleur prof au prochain semestre. Bon, sur ce, je vais lire Manon Lescaut, j'ai un contrôle vendredi...
J'vais réapprendre le latin et me remettre à l'allemand, voire à l'italien ensuite, les langues de la recherche en histoire (avec le français et l'anglais, évidemment).
Bref, un exam d'anglais, c'est une promenade, et en licence d'histoire, les autres sont des navets. Mais vraiment. J'te comprends.