6 juin - 12:37 AM

Shutting Down Grace's Lab by James Horner on Grooveshark

Un cookie tout chaud, un verre de lait, et des questions, des questions, des questions. Toujours les mêmes questions, toujours aussi stériles, inutiles et ô combien sciantes. Le plus stupide dans l'histoire étant que j'ai déjà les réponses ! Mais qu'importent les réponses, elles soulèvent toutes d'autres questions à leur tour ; auxquelles il y a aussi des réponses bien sûr, mais un cercle vicieux a pour principal attribut le vice. Quand je suis seule chez moi, le soir, je ne nage plus dans les volutes de fumée dans lesquels je voltige quand je suis dans les bras de Qwenn, je me noie dans un putain de tourbillon dont la seule issue n'est qu'un torrent de larmes suivi d'une nuit sans rêve, sans rêve.

J'ai des séquelles en fait. Des séquelles grosses comme des crevasses, qui me sillonnent de l'intérieur, et qui se craquellent, tout le temps. Les petites blessures de la vie, les petits échecs, les petits riens sont accentués, amplifiés depuis que Phy' s'en est allé. Les musiques tristes deviennent déchirantes, les certitudes les mieux ancrées deviennent des doutes de chaque instant, mon reflet dans le miroir a toujours envie de pleurer.

Bien trop vite que je suis retombée amoureuse, bien trop vite. C'était pas prévu et pas judicieux du tout. Je suis loin d'être guérie. Même bientôt 7 mois après son départ, les mots, les images de Phy' me reviennent bien trop souvent. Et malgré l'amour de Qwenn, malgré la pertinence de mes sentiments à moi, équivalents aux siens, malgré l'obtention de ma Licence de Lettres (ha ouais, je vous l'avais pas dit – m'enfin, vous savez bien que je m'épanche toujours plus sur mes malheurs que sur mes joies) et l'espoir d'un nouveau départ avec une – probable ? – possible ? – éventuelle ? – formation de facteur de piano, malgré toutes ces sorties, cette volonté de changer ma vie et de ne surtout pas refaire les erreurs qui ont fait que j'ai perdu mon premier amour... je respire majoritairement la tristesse. Tristelune n'a presque jamais mieux porté son nom...

Personne ne se demande où je suis quand mon regard s'en vas voguer dans le vide ? Je suis dans notre appartement. J'ai beau être là, entourée de tous ces gens, qui boivent, qui rient, qui chantent et dansent, je suis aussi allongée sur le canapé, à écouter les doigts de Phy' courir sur son clavier en regardant la boule de papier qui fait office de suspension sur notre très haut plafond ; je rentre de chez Mini-Ju' le soir, et un repas m'attend, devant un film prêt à être lancé, petite surprise bien orchestrée ; je suis devant la fenêtre, à regarder le parking et le boulevard en fredonnant Ne Me Quittes Pas alors qu'il est parti se balader avec celle pour qui il me quittera ; je suis anéantie dans la cuisine à cause de ce suçon qui révèle tout, malgré qu'il m'ait déjà quitté, le coup est rude (rappelez-vous, c'était le jour de mon anniversaire !), il me prend dans ses bras et me récite un poème de Baudelaire.
Une partie de moi est toujours là-bas. Une partie de moi ne comprend toujours pas. Une partie de moi est perdue. Et je n'ai plus confiance en quoique ce soit. Et j'ai peur. Et je ne crois plus en rien.

Toutes les cartes pour m'en sortir sont d'ores et déjà dans mes mains, ma plus jolie carte s'appelle Qwenn et je l'aime, je l'aime bien trop, et je sais que c'est dangereux. Il est digne de confiance, le problème c'est moi : je n'y crois plus. L'amour fait trop mal, du jour au lendemain il fait chavirer ta vie et te fait passer des sourires aux sanglots. L'amour je vis avec, je l'apprécie, bien sûr je ne me rends pas compte de la chance que j'ai ; mais quand il n'est plus là, où quand il m'a bien trop blessée, trop récemment, ce n'est plus que je vis avec, c'est que je me perds dedans et dans le désespoir qu'il cause.

Quand Phy' me demande comment je vais, je lui dis que je vais bien. Globalement c'est la vérité. J'ai tout pour aller bien, et je ne vais pas mal. Il suffit juste que je ne vive plus que sans réfléchir, que je profite de ce qu'on m'offre sans me poser de question quant à ce que je suis capable de donner en retour alors qu'à l'intérieur je suis toujours en bouillie. J'ai perdu ma boussole. Pour trouver du sens à ce que je fais je dois retourner sans cesse dans le passé, dans un passé qui fait mal mais sur lequel je suis forcée de me baser.

Mais je dois arrêter avec mes conneries, je ne devrais même pas publier cet article. Pourtant le miracle du blog c'est que je ne suis libérée d'un poids que si je sais que quelqu'un au moins a lu ma publication. Écrire dans un journal, ou écrire pour soi en général, ne porte pas ses fruits, du moins pas avec moi. Je suis comme obligée de partager ces saloperies que j'ai dans le ventre, sur le coeur et qui me sortent par les phalanges.
Mais je dois arrêter avec mes conneries, parce que Qwenn va lire tout ça et que je ne veux pas qu'il se fasse trop de mouron ; il m'aime comme j'aimais Phy', mais je ne suis même pas capable de dire comme je l'aime ou l'aimerai parce que je ne sais plus. Mes rêves ont été piétinés ; j'ai livré ma vie à mon aimé et (bien que ce ne soit au final pas tellement de sa faute, il n'allait pas se forcer à rester avec moi s'il en aimait une autre) je me suis retrouvée à cracher du sel par les yeux jour et nuit, à dormir presque tout le temps à cause des anti-dépresseurs, et à devoir refaire ma vie. Je ne suis plus capable de promettre quoique ce soit, je ne peux rien me promettre à moi, alors je préfère ne rien promettre à quiconque. Qwenn est un pilier de ma reconstruction, le principal pilier : et c'est de ça qu'il faut se méfier ! Le jour où le pilier Qwenn décidera de se faire la malle comme l'ont déjà fait les fondations Phy'... BOUM !
Mais je dois arrêter avec mes conneries, sinon Kyra va se faire du souci.

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17 mai - 10:30 PM

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Comment ça il y a des Pokémons partout sur mon habillage ? Ça vous rend épileptique en plus ? (J'anticipe diverses constatations et diverses critiques.) De toute façon je suis retombée en phase Pokémon alors même sans tous ces gifs pour ne pourriez pas y échapper. La dernière grosse période Pokémon remonte au mois de février ; quand il fallait que j'immerge totalement mon cerveau dans des activités, aussi abrutissantes soient-elles, pour ne pas mourir d'écouter mon coeur se déchirer. Ça avait très bien marché, disons que j'ai été pokémaniaquement très efficace durant cette période et que ça m'a d'autant plus distrait que Criquet me proposait carrément des combats par infra-rouge !
Mais vu que je suis arrivée à un stade où il n'y a plus grand chose à faire pour former mon armée que d'entraîner mes plus de 150 pokémons sélectionnés jusqu'au niveau minimum 70 et en capturer d'autres, des coriaces, introuvables. Je pense à Mew, Célébi, Shaimin... ou tout autre pokémon introuvable autrement que par Action Replay ! Vous vous doutez bien que je ne suis pas une grande tricheuse ; mais l'Action Replay finit toujours par s'avérer nécessaire. Et vu que Qwenn ne savait pas ce que c'était avant que je lui explique, je vais vous l'expliquer rapidement aussi, si vous n'êtes pas calés. Alors, l'Action Replay c'est une cartouche DS (avant il y en avait aussi sur Game Boy, mais j'en ai jamais eu : voyez que je suis pas une tricheuse) qui permet pas mal de trucs : avoir plein d'objets qui coûtent cher dans le jeu (tout ce qui est carbone, zinc, protéines ou autres boosters), ou des objets uniques (master ball, peau métal, roche royale... j'ai pas d'idées), voire des... super-bonbons ! Les super-bonbons en question font gagner un niveau au pokémon à chaque ingestion. C'est de la belle saloperie de triche ça ; et j'aime pas ça. En fait l'Action Replay je ne la veux vraiment que pour obtenir des Pokémons que je ne peux pas avoir sans elle.
C'est pourquoi j'en ai acheté une ! Une Action Replay spécial Pokémon (parce que sinon elles servent pour beaucoup d'autres jeux ; mais vous savez bien que je ne jure que par les Pokémons). J'ai profité de cette commande sur Amazon pour acheter un recueil de poèmes de Yeats et Narrow de Soap&Skin. Vous n'imaginez pas à quel point j'ai hâte qu'arrive le colis... Lire Yeats en écoutant Soap&Skin (OMG... jouissif...) et redémarrer un jeu Pokémon en intégrant Mew, à tout petit niveau, dans l'équipe (OMG... trou choupinet...)

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Excusez ma perversité, mais ne dirait-on pas que Mew est en train de se foutre la queue dans le cul ?
Vraiment, je veux pas passer pour une obsédée, mais là, quand même...

2 mai - 11:12 PM

Aujourd'hui j'ai été réveillée par des câlins ; Sherlock était blotti contre moi et respirais en mode gros ronflements dans mon oreille ("psiiii - prrrt - psiiii - prrrt - psiiii - prrrt...").
J'ai lu au moins 150 pages de Téméraire, et je le terminerai sûrement cette nuit.
Cet après-midi j'ai fait un rêve de fous dans lequel j'étais capitaine d'une armée, et on s'apprêtait à livrer combat sous mes ordres (je crois qu'on était au Gouffre de Helm, à l'intérieur des remparts, et ça pétait de partout, y avait plein de feu, de fumée, de poussière... un enfer ! – putain c'était trop cool !).
Bon, après, en vrai, une fois réveillée quoi, j'ai passé la tondeuse : tout de suite moins grandiloquent.
J'ai sauvé un escargot.
Ha, et puis j'ai fait un truc, pour Dark Riketz, je vais pas vous dire ce que c'est, il serait au courant et ce serait pas du jeu.
Inspirée, j'ai dessiné sur un débardeur avec un stylo exprès pour le tissu : faudrait que je m'en trouve un mieux, de stylo, et que je me dégote un lot de marcels à pas cher pour faire ça plus souvent. Je vous le montrerai à l'occasion d'un futur article ; c'est pas du grand art mais moi j'le trouve cool.
J'ai joué pas mal de piano : ça fait tellement de bien de jouer sur un véritable instrument (synthétiseurs, maudits soyez-vous !)
De retour à Vauliard je m'ennuie quand même, bien que j'ai enfin l'occasion de faire tout ce que j'ai à faire (cette replongée dans la lecture me fait un bien fou). 

Mon Qwenn et sa bande de copains (je dis surtout "copains" même s'il y a des "copines" parce que je me retrouve souvent entourée d'une bande de geeks masculins), qui sont toujours dans le coin quand on est chez lui, me manquent : oui, seule ici je manque non seulement de mon Qwenn, mais aussi de tous ces grognements, rires, blagues à deux balles, geekeries tardives, verres de whisky et autres trucs essentiellement masculins auxquels on s'habitue tellement que quand tout à coup il n'y a plus rien, ça fait un sacré vide. Voila ce que j'appelle l' "effet anniversaire" : quand j'étais môme (au lycée surtout) on fêtait nos anniversaires avec ma bande de copines, on faisait les connes, parfois on buvait, on jouait pas mal, on rigolait comme des bananes, on faisait une soirée pyjama, mais au final fallait toujours se séparer. Et quel que soit l'anniversaire, quel que soit l'endroit, je finissais toujours pas me retrouver seule chez moi (only child power) et j'étais mais alors seeeeuuule... déprimée. Bon là je ne déprime pas. Je retourne à Tours dès vendredi alors tout va bien.
Et puis faut pas déconner, c'est surtout mon Qwenn qui me manque et je peux quand même communiquer avec sur internet quelques minutes dans la journée. Alors je vais pas me plaindre non !

Bon bah maintenant je vais aller dessiner, lire, et dormir, comme la majeure partie de ma vie !
 
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25 avril - 10:31 PM


J'ai beau être en vacances, je ne trouve toujours pas le temps de tout faire.

En même temps, je crois que je suis narco' je sais pas quoi : je dors tout le temps. Et nécessairement, plus je dors plus j'ai envie de dormir. Wikipédia dit des narcoleptiques : "La narcolepsie, ou maladie de Gélineau, est un trouble du sommeil chronique, ou dyssomnie, caractérisée par un temps de sommeil excessif durant lequel un individu ressent une extrême fatigue et peut possiblement s'endormir durant un temps mal-adapté, comme au travail ou à l'école. Les narcoleptiques souffrent habituellement de troubles nocturnes du sommeil et d'un temps de sommeil anormal, qui prête à confusion avec l'insomnie. Lorsqu'un narcoleptique s'endort, il fait généralement l'expérience d'un sommeil paradoxal durant une dizaine de minutes ; alors que la vaste majorité des individus n'atteignent le sommeil paradoxal qu'après 90 minutes." Or, j'ai un bon sommeil, je dors beaucoup, certes, mais d'un sommeil bien profond, blindé de rêves en tous genres... c'est juste que j'ai beau dormir plus de 10 heures par nuit, dès que j'ai pris mon petit déjeuner je n'ai pas la force de faire quoi que ce soit, je veux retourner me pieuter ; en cours (ouf c'est terminé) j'avais toujours envie de dormir, jusqu'à parfois m'endormir carrément ; mes siestes se prolongent souvent bien trop tard ("Ha, tu t'es réveillée ! Il est 19 heures..."). C'est pas de la narcolepsie dans la mesure où même si ça peut me prendre d'un seul coup je peux résister à la fatigue (à moins d'avoir la possibilité de m'endormir sur une table ou de poser ma tête sur l'épaule de quelqu'un – j'ai trouvé un oreiller humain très confortable, un copain de Qwenn, mais par contre je crois que l'oreiller en question est lui-même un véritable narcoleptique...) Conclusion je dors trop, je sais pas pourquoi, et c'est chiant, et ça m'empêche de faire tout ce que j'ai envie de faire maintenant que je suis en pseudo grandes vacances.

Depuis lundi après-midi j'ai un putain de mal de dents, qui s'atténue au fur et à mesure, mais ça douille quand même. Caries sur toute la longueur canine-molaire du côté droit ? (j'espère pas) Plombage qui a sauté ? (ça n'explique pas que la douleur soit diffuse) Ou bien dent de sagesse qui emmerde tout le monde à pousser ? (ça fait plus d'un an qu'elle sort progressivement de la gencive, pourquoi elle attend que je sois en vacances pour me faire chier celle-là ?) Toujours est-il que mes questions resteront sans réponse jusqu'au 15 mai, oui, le 15 mai est la date la plus proche à laquelle j'ai pu obtenir un rendez-vous chez le dentiste ; si j'avais fouiné mieux j'aurais trouvé plus tôt, mais je tiens à mon dentiste mono-sourcilien habituel. Il ne panique pas quand je pleure alors qu'il allume la roulette ; ça l'inquiétait quand il se demandait pourquoi je pleurais pour un plombage alors que j'avais 13 ans, maintenant il sait qu'il n'y a rien à faire et que même à 21 ans je vais pleurer quand il va me dire qu'il a un truc à réparer, une piqûre à faire, ou je ne sais quoi d'autre...

Roulette by System of a Down on Grooveshark
Je sais qu'il ne s'agit pas de roulette de dentiste, hein !
Suffit de me prendre pour une cinglée...

J'ai reçu un colis ce midi : faut que je vous en dévoile le contenu et l'expéditeur dans un article dédié à l'artiste en rapport avec le tout. C'est sibyllin je sais, mais ça entretient un certain suspens, non ?
Il y en a même un autre que j'attends, d'un autre destinateur, mais ça je vous en parlerai aussi en temps voulu.

Samedi 5 mai j'ai rendez-vous à 9h30 pour me faire tatouer ma petite poule à la cheville : à votre avis, je prends un petit-déjeuner avant et prends le risque de tout vomir dans le laboratoire ou bien est-ce que je m'abstiens de manger mes Chocapics et cours le risque de m'évanouir ? Enfin j'dis ça mais ça me fait carrément pas peur en fait. J'ai peur du dentiste, mais pas de la tatoueuse. J'ai peur des piqûres, mais pas des tatouages. En plus Sandjack vient avec moi ce jour là puisque juste après moi elle se fera tatouer un petit pingouin à la cheville aussi ; c'est un pingouin que Criquet a pour habitude de dessiner apparemment, alors j'imagine comme ça peut lui tenir à coeur. Moi mon Phy' refuse d'écrire le vers de Baudelaire que je dois me faire tatouer à la cuisse, alors que ce tatouage est finalement indissociable de son écriture... fait chier. C'est bête parce que c'est inutile mais si je pouvais faire signer une pétition par beaucoup beaucoup de gens qui me connaissent afin de pousser Phy' à m'écrire, je pourrais le faire. Il s'agit juste me l'écrire, c'est pas la mort non plus ! Et c'est pas une infidélité à sa nouvelle copine (bande de traîtres !... Moi ? rancunière ? Peut-être un peu...), ni à mon Qwenn, ça ne signifie rien quant à notre relation qui est belle et bien terminée (c'est bon hein, j'ai bien encaissé le coup, j'ai mis du temps à m'en relever mais j'ai bien vite compris l'indubitabilité de son départ et finalement vous aurez compris que je ne m'en porte que mieux : amoureuse d'un gus à croquer, capable de l'aimer sans freiner ma propre personnalité, j'ai recouvré la liberté ! Le verbe recouvrer est bien dans le dictionnaire, il est fréquemment employé en littérature, ne me faites pas d'esclandre). Du coup je ne comprends pas trop pourquoi il ne veut pas m'écrire mon vers, mais je ne perds pas espoir, au pire je retrouve des mots de lui (ceux qu'il n'a pas balancé, ceux que je n'avais pas eu le temps de mettre dans la boîte, dont il a carrément jeté le contenu... le piouf) et je me débrouille pour copier ça au mieux. Je veux des tatouages qui aient du sens, surtout pour moi : je ne me fais pas tatouer pour me faire tatouer, parce que c'est cool et tout (bon, c'est aussi pour ça, j'avoue, mais pas que), je vais me faire tatouer des choses que j'aime et qui s'étendront symboliquement à un ensemble d'autres choses. Ma poule par exemple : elle représente mon fanatisme pour les poules en général, elle ressemble beaucoup à Ginger, mon adorée qui était si belle, et a été dessinée par Giru, qui n'est autre qu'une cowblogueuse et donc par extension une représentation du monde virtuel dans lequel j'évolue depuis des années. Je sais, le lien vers son blog est mort maintenant, mais pour la forme je le mets sur son nom. Je veux porter sur moi des choses que j'aime et qui ont un sens plus profond que le simple tatouage, mais je suppose que vous me comprenez, je vais arrêter de m'attarder là-dessus.

Demain je retourne à Tours, mon Qwenn vient me chercher à la gare, on va déjeuner, ensuite il faut que je passe à l'Imaginaute (supeeer-libraiiire !) pour acheter le Brisingr qu'il m'a mis de côté (troisième tome de la sage Eragon : oui j'aime la littérature de fantasy plate pour jeunes ados, et alors ? Et encore... vous ne connaissez pas le pire ! La révélation attendra la fin de la saga dont il faut que je vous avoue la lecture, héhé... j'ai peur, vous allez me lyncher...), il faut que je passe à Medusa voir si JB peut m'enlever la prothèse du lobe et la remplacer par un piercing que j'achèterai sur place, normalement ça devrait être déjà cicatrisé. Pour le trou du cartilage j'attendrai encore, il me fait toujours un peu mal. Je crois que j'avais d'autres trucs à faire en ville mais j'ai oublié.

Puis je fatigue, je vais au dodo. C'est un coup à ce que je m'endorme sur mon PC. Heureusement que je ne suis pas narcoleptique, ce serait quoi sinon ?
 
http://anicroche.cowblog.fr/images/Photos/ragededents.jpgMal aux dents...

4 avril - 1:27 PM

J'ai énormément de choses à vous dire, mais pas le temps de les dire. Vous avez constaté que j'ai remis dans la barre de gauche quelques modules utiles comme la tagboard : ça, généralement, ça fait des heureux. Mais sinon, en ce moment je suis tellement prise que je ne sais plus où donner de la tête. Pour vous donner une idée : demain, partiel d'italien (je commence à réviser aujourd'hui parce que pour hier je devais rendre ma version de latin et pour avant-hier mon dossier sur Le Dernier Jour d'un condamné de Victor Hugo) ; pour mardi on doit préparer une pièce de théâtre/débat en anglais sur le thème de l'adoption par les couples homosexuels, à quatre ; pour mardi toujours, je dois rendre un dossier sur L'Homme Difficile d'Hoffmansthal (oui, une pièce de théâtre d'un sinistre inconnu, je sais, je sais) ; pour vendredi un dossier de littérature jeunesse, avec pour sujet une citation de Philip Pullman concernant la littérature pour enfants lue par les adultes, tout ça, tout ça (un sujet vachement intéressant quoi, mais qui va être dur à traiter en si peu de temps). Parce qu'il faut dire qu'en même temps j'ai un petit copain-scratch adorable, des sorties cinéma à faire, je dois rentrer chez mes parents, aller à la fête des plantes et des poules, profiter du fait que Sandjack soit là pour passer du temps entre copines avec elle et Lotte, aller chez le tatoueur... j'aimerais bien prendre des photos aussi, retoucher mes cartes auzrochiennes et mes blasons, jouer plus souvent et sur un vrai piano, lire plus de livres (plus que zéro c'est facile), faire des randonnées... Mais bon ! Va falloir encore patienter un peu. A partir du 13 avril je suis libérée du fardeau des cours ; j'ai des examens le 20 puis je suis en vacances jusqu'aux partiels de mai (sur deux jours, c'est tranquille). En gros, vous l'aurez compris, il me reste une semaine et demi à devoir bosser comme une folle et puis je pourrai reprendre ce blog en main, et surtout m'occuper à nouveau de vos publications sur la galerie de Bildibrun ! (je ne mets pas de lien, depuis que je ne paie plus le premium il a une gueule terrible... et puis je vais pas payer si je ne l'entretiens pas, soyons logiques.)

http://anicroche.cowblog.fr/images/Photos/fleursdeau.jpg

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