Vous en aurez vu des sautes d'humeur sur ce blog, hein ! Je vis en dents de scie, et comme pour purger mes émotions je dois écrire ce que je ressens et que, ô malheur, je préfère écrire ici que sur traitement de texte ces aléas de ma vie, vous en bouffez du "je meurs...", du "je l'aime !", du "j'suis trop courageuse !", du "ma vie est foutue..." ! Le tout entrecoupé d'articles tickets de cinéma. C'est pas ça qui va faire avancer le monde ! Vous me direz, ce n'est pas avec les articles folie shopping et coin bouquin que je vais vous pondre dans les jours à venir que nous allons le faire avancer ce fichu monde ; remarquez, qu'est-ce qu'on s'en fout, l'apocalypse est à la fin de l'année !
Ce matin je suis retournée voir le médecin qui m'avait prescrit les anti-dépresseurs (et auquel j'ai dû téléphoner mercredi matin tellement les larmes m'empêchaient de voir clair et qui m'a dit de doubler les doses : Requiem For a Dream bonjour !) et il m'a dit de continuer comme ça avec mes doubles doses pendant trois semaines, soit jusqu'à ce que je retourne le voir. C'est vrai que sans eux je ne peux plus rien faire ; même avec toute la bonne volonté du monde, avec tout la rationalité possible, je reste pétrifiée et en pleurs. Je ne suis pas retournée voir la psychologue car la situation n'a pas évolué depuis la dernière fois dans mon esprit ; je sais ce que je dois faire, je sais où je dois aller, je sais ce que je dois penser, je sais absolument tout ce que je dois faire pour être heureuse (le truc c'est que c'est vachement dur en fait...)
La revue en ligne Solaris m'a envoyé un mail disant qu'elle refusait ma nouvelle "Lucilie" (cliquez sur la croix pour la télécharger en PDF : ×), je suis un peu déçue mais le refus a été bien expliqué et j'ai été pas mal complimentée, ça me donne envie de soumettre d'autres textes comme ça. Enfin quand j'aurai le temps.
Car oui, outre mes pétages de cables sentimentaux, mes nombreuses et fréquentes sorties, les déjeuners et dîners avec les amis, les cours de piano, les cours tout court, les week-ends chez les parents, et mes 12 heures de sommeil par nuit (c'est les médocs qui me font dormir...) et bien j'ai du boulot ! Il me faut préparer un dossier écrit sur les dernières scènes de La Vie de Timon d'Athènes de Shakespeare et un exposé bien complet (avec explication du mythe, décortiquage de la pièce de Racine et du tableau de Cabanel – enfin c'est moi qui ai choisi, le plan n'est pas imposé) sur Phèdre. Cet exposé me permettra d'ailleurs de parler d'Hippolyte.
J'ai oublié de mettre ça dans les qualités de l'homme de mes rêves : il voudra lui aussi appeler à tout prix notre fils Hippolyte. De toute façon je serai malheureuse toute ma vie si je n'ai pas mon Hippolyte, alors autant dire que la qualité principale d'un garçon à mes yeux est désormais de vouloir appeler son fils comme ça. Les lubies ça ne se décide pas...
La revue en ligne Solaris m'a envoyé un mail disant qu'elle refusait ma nouvelle "Lucilie" (cliquez sur la croix pour la télécharger en PDF : ×), je suis un peu déçue mais le refus a été bien expliqué et j'ai été pas mal complimentée, ça me donne envie de soumettre d'autres textes comme ça. Enfin quand j'aurai le temps.
Car oui, outre mes pétages de cables sentimentaux, mes nombreuses et fréquentes sorties, les déjeuners et dîners avec les amis, les cours de piano, les cours tout court, les week-ends chez les parents, et mes 12 heures de sommeil par nuit (c'est les médocs qui me font dormir...) et bien j'ai du boulot ! Il me faut préparer un dossier écrit sur les dernières scènes de La Vie de Timon d'Athènes de Shakespeare et un exposé bien complet (avec explication du mythe, décortiquage de la pièce de Racine et du tableau de Cabanel – enfin c'est moi qui ai choisi, le plan n'est pas imposé) sur Phèdre. Cet exposé me permettra d'ailleurs de parler d'Hippolyte.
J'ai oublié de mettre ça dans les qualités de l'homme de mes rêves : il voudra lui aussi appeler à tout prix notre fils Hippolyte. De toute façon je serai malheureuse toute ma vie si je n'ai pas mon Hippolyte, alors autant dire que la qualité principale d'un garçon à mes yeux est désormais de vouloir appeler son fils comme ça. Les lubies ça ne se décide pas...