★★★★
Synopsis : "Dans la banlieue de Tokyo, sous le plancher d’une vieille maison perdue au cœur d’un immense jardin, la minuscule Arrietty vit en secret avec sa famille. Ce sont des Chapardeurs.
Arrietty connaît les règles : on n’emprunte que ce dont on a besoin, en tellement petite quantité que les habitants de la maison ne s’en aperçoivent pas. Plus important encore, on se méfie du chat, des rats, et interdiction absolue d’être vus par les humains sous peine d’être obligés de déménager et de perdre cet univers miniature fascinant fait d’objets détournés.
Arrietty sait tout cela. Pourtant, lorsqu’un jeune garçon, Sho, arrive à la maison pour se reposer avant une grave opération, elle sent que tout sera différent. Entre la jeune fille et celui qu’elle voit comme un géant, commence une aventure et une amitié que personne ne pourra oublier…"
Il ne faut pas se faire avoir en disant "je suis allée voir le dernier Miyazaki au cinéma" en parlant d'Arrietty, vous passeriez pour un gus, parce que tout le monde sait que si le scénario est bien de Miyazaki, le film a été réalisé par Hirosama Yonebashi, qui avait apparemment travaillé avec maître Miyazaki sur le Voyage de Chihiro.
Sinon, je n'ai rien à dire en fait, sur ce film. C'est une merveille. Il est fantastique à souhait, mignon comme tout, plein de poésie, de féérie... tout ce qu'il faut pour vous rendre gaga. Le monde vu d'en bas, comme on en a toujours rêvé, superbe. Le coup du corbeau qui se plante dans la moustiquaire est hilarant. Splinter ressemblait à l'une de mes copines, et il faisait toujours des mimiques tordantes (c'est logiquement fait exprès.)
Allez donc voir Arrietty, le petit monde des chapardeurs si vous ne l'avez pas déjà fait. C'est une évasion de deux heures dans une fable écolo servie de musique bretonne. Si je n'avais pas su avant d'aller voir le film que c'était la française Cécile Corbel qui avait fait la musique, j'aurais quand même repéré les accents celtiques de la musique qui, si elle fait un peu drôle au début avec un dessin animé japonais, s'accorde très bien à la petitesse des chapardeurs qu'on peut considérer comme des lutins tout droits sortis des contes celtes.
Arrietty connaît les règles : on n’emprunte que ce dont on a besoin, en tellement petite quantité que les habitants de la maison ne s’en aperçoivent pas. Plus important encore, on se méfie du chat, des rats, et interdiction absolue d’être vus par les humains sous peine d’être obligés de déménager et de perdre cet univers miniature fascinant fait d’objets détournés.
Arrietty sait tout cela. Pourtant, lorsqu’un jeune garçon, Sho, arrive à la maison pour se reposer avant une grave opération, elle sent que tout sera différent. Entre la jeune fille et celui qu’elle voit comme un géant, commence une aventure et une amitié que personne ne pourra oublier…"
Il ne faut pas se faire avoir en disant "je suis allée voir le dernier Miyazaki au cinéma" en parlant d'Arrietty, vous passeriez pour un gus, parce que tout le monde sait que si le scénario est bien de Miyazaki, le film a été réalisé par Hirosama Yonebashi, qui avait apparemment travaillé avec maître Miyazaki sur le Voyage de Chihiro.
Sinon, je n'ai rien à dire en fait, sur ce film. C'est une merveille. Il est fantastique à souhait, mignon comme tout, plein de poésie, de féérie... tout ce qu'il faut pour vous rendre gaga. Le monde vu d'en bas, comme on en a toujours rêvé, superbe. Le coup du corbeau qui se plante dans la moustiquaire est hilarant. Splinter ressemblait à l'une de mes copines, et il faisait toujours des mimiques tordantes (c'est logiquement fait exprès.)
Allez donc voir Arrietty, le petit monde des chapardeurs si vous ne l'avez pas déjà fait. C'est une évasion de deux heures dans une fable écolo servie de musique bretonne. Si je n'avais pas su avant d'aller voir le film que c'était la française Cécile Corbel qui avait fait la musique, j'aurais quand même repéré les accents celtiques de la musique qui, si elle fait un peu drôle au début avec un dessin animé japonais, s'accorde très bien à la petitesse des chapardeurs qu'on peut considérer comme des lutins tout droits sortis des contes celtes.