Wassam : Because in addition, while waiting to find I do not write an article, because I tell myself that if I have to finish Anicroche, I might as well do it on the 365th article, for the symbolism of the number! I am trapped!
Wassam : Because in addition, while waiting to find I do not write an article, because I tell myself that if I have to finish Anicroche, I might as well do it on the 365th article, for the symbolism of the number! I am trapped!
Wassam : Because in addition, while waiting to find I do not write an article, because I tell myself that if I have to finish Anicroche, I might as well do it on the 365th article, for the symbolism of the number! I am trapped!
Wassam : Because in addition, while waiting to find I do not write an article, because I tell myself that if I have to finish Anicroche, I might as well do it on the 365th article, for the symbolism of the number! I am trapped!
Wassam : Because in addition, while waiting to find I do not write an article, because I tell myself that if I have to finish Anicroche, I might as well do it on the 365th article, for the symbolism of the number! I am trapped!
Wassam : Because in addition, while waiting to find I do not write an article, because I tell myself that if I have to finish Anicroche, I might as well do it on the 365th article, for the symbolism of the number! I am trapped!
Wassam : Because in addition, while waiting to find I do not write an article, because I tell myself that if I have to finish Anicroche, I might as well do it on the 365th article, for the symbolism of the number! I am trapped!
Wassam : Because in addition, while waiting to find I do not write an article, because I tell myself that if I have to finish Anicroche, I might as well do it on the 365th article, for the symbolism of the number! I am trapped!
Wassam : Because in addition, while waiting to find I do not write an article, because I tell myself that if I have to finish Anicroche, I might as well do it on the 365th article, for the symbolism of the number! I am trapped!
Wassam : Because in addition, while waiting to find I do not write an article, because I tell myself that if I have to finish Anicroche, I might as well do it on the 365th article, for the symbolism of the number! I am trapped!
Bunny Vault : Rabbits have continuously growing teeth, which necessitates constant chewing on fibrous materials to maintain dental health. Breeding rabbits should be done responsibly, as overpopulation can lead to welfare issues. Various organizations and shelters adv
Bunny Vault : In terms of care, pet rabbits require a diet high in fiber, predominantly from hay, supplemented with fresh vegetables and a limited amount of pellets. They need ample space to exercise, as well as mental stimulation to prevent boredom and associated heal
Bunny Vault : They also use scent marking to establish territory and convey social information. In addition to their natural habitats, rabbits have adapted to a range of environments, including urban areas, where they can sometimes become pests due to their rapid repro
Quatrième de couverture : "Arlis est orphelin. Il a été recueilli par Emmett et Lindy, des forains. Entouré, entre autres, de Jared, le cul-de-jatte, et de Katrina, la fille aux serpents, il vit une enfance singulière, mais heureuse, sur les routes qui le mènent de ville en ville. L'arrivée des forains à Bailey Creek ne passe pas inaperçue et, comme souvent, Arlis est le centre d'intérêt de tous les enfants de la ville. Et plus particulièrement de Faith, la fille du pasteur. Elle fera découvrir à Arlis d'étranges rituels et lui ouvrira les portes d'un monde plein de mystères... et de dangers."
Mon avis : un livre recommandable pour tous, même pour les grands enfants (à partir de 12 ans, par là) bien qu'il puisse paraître, par certains aspects, un peu rude. Arlis a 11 ans, si les lecteurs adultes sont submergés par la personnalité de ce gamin, je n'ose imaginer l'impact qu'il peut avoir sur un enfant de son âge. Sans compter que le fantastique du roman, entre fantômes et rituels païens, est si bien maîtrisé qu'il donne parfois quelques frissons. Ce n'est pas pour autant un livre réservé aux enfants, c'est n'est pas du tout ce que je pense : il est simple à la lecture, même s'il est servi par un style singulier que j'apprécie beaucoup, très poignant et bien travaillé, certes, mais il aborde quelques thèmes (bien que pas non plus traités trop en profondeur) comme la religion et la maternité que l'on sera plus à même de comprendre que l'enfant. J'aime d'ailleurs la leçon simple que l'on tire de la religion, à travers le pasteur, l'église et Faith. Arlis des forains est un roman que l'on lit vite, qui parfois vous fait sourire ou vous serre le coeur, vous glace quand vous commencez à vous inquiéter pour le môme ou, malheureusement, vous laisse sur votre faim au dénouement. Gros coup de théâtre dans les dernières pages, qui vous laisse entrevoir des péripéties palpitantes, mais qui ne seront pas écrites. Le souhait de l'auteure était probablement de nous laisser espérer, imaginer, croire ; mais du coup ça me frustre.
Un petit mot sur l'auteure (source Wikipédia) : "Mélanie Fazi est née le 29 novembre 1976 à Dunkerque. Elle est auteur de fantastique et traductrice de fantasy et de fantastique. Après des études d'anglais, elle passe un DESS de traduction. Elle commence à traduire des nouvelles pour la revue Ténèbres tout en commençant à en écrire à son tour. Ses nouvelles paraissent dans des anthologies à partir de l'an 2000. En 2002, les éditions Bragelonne l'embauchent comme traductrice. Elle traduit notamment des œuvres de Lois McMaster Bujold, Elizabeth Moon, Poppy Z. Brite, Graham Joyce, Kelley Armstrong, Lilith Saintcrow, Brandon Sanderson, etc. En 2011, elle a réuni et préfacé un recueil de nouvelles de Lisa Tuttle pour les éditions Dystopia : Ainsi naissent les fantômes. Mélanie Fazi vit à Paris où elle continue à écrire des nouvelles."
Elle a un site internet, qui n'a malheureusement pas été mis à jour depuis plusieurs années, mais je vous en propose un lien, pour le fun : ×
A lire sur fond de Tchikidan, pour le coté saltimbanque.