Tout un périple à raconter dans l'ordre des jours de la semaine.
Dimanche 10 :
Départ le matin de chez Qwenn, direction la gare de Saint-Pierre-des-Corps, où on retrouve à 10h l'ensemble des élèves de la classe du pôpa de Qwenn, qu'on doit accompagner en classe découverte. 10h20, montée dans le TGV qui file jusqu'à la gare Bordeaux-Saint-Jean, où on devra attendre notre correspondance pendant deux heures, de quoi commencer à connaître la bande de gamins et manger des sandwichs. Ensuite, direction Pau en TGV de nouveau. Je ne sais pas si vous imaginez la galère pour faire entrer un groupe de 20 marmots, tous chargés d'une valise plus grosse et plus lourde qu'eux, en un temps record pour entrer dans le train, installer tout le monde sans trop faire chier les gens... j'espère pour vous que vous n'aurez jamais à le faire. Arrivée à Pau dans les environs de 17h, où deux mini-bus viennent nous chercher, l'un conduit par la directrice de l'Aberouat (le refuge dans lequel on sera ensuite logé), l'autre par l'Homme-Couteau-Suisse (un type qui sait absolument tout faire et qui a l'air sacrément précieux pour la gestion de l'Aberouat). Vers 18h30, après une heure et demi de grande route et de petites routes en lacets, nous voila arrivés au refuge, où il faut débarquer les affaires, prendre connaissance des lieux, s'installer et surtout... dîner !
Dîner excellent, avec une bonne soupe chaude, préparée par Messire-Vin-Chaud, le cuisinier de l'Aberouat. Puis dodo dans une chambre exprès pour juste Qwenn et moi, avec une salle de bain, ce qui nous a évité les douches publiques, ça je déteste. Les toilettes étaient dans le couloir mais le couloir en question n'était que très peu fréquenté. Malgré le fait que nous devions dormir l'un au-dessus de l'autre, séparés par un sommier, parce qu'on avait en fait des lits superposés, on n'avait vraiment pas de quoi se plaindre.
Lundi 11 :
Levés à 7h30 pour déjeuner à 8h, je peux vous dire que quand on a pris l'habitude de faire des nuits de douze heures et de siester tout l'après-midi, le rythme était épuisant au début. Et à 9h on était partis pour une randonnée avec Pépod (ou Pépon', j'ai pas bien saisi son surnom), histoire de découvrir le coin avec les enfants. Pépod est un accompagnateur de groupes comme ça, en montagne, il connaît les lieux comme sa poche (il venait déjà à l'Aberouat quand il était môme, et il doit avoir dans les 50 ans) et son expérience de paysagiste en fait un super connaisseur de la flore environnante ; on devrait toujours avoir un Pépod sur soi.
Le midi on a déjeuné au refuge, avant de repartir en randonnée tout l'après-midi. Alors, déjà que le matin on se prenait des taulées dans la gadoue bourbeuse et glaiseuse, qu'on en avait jusqu'aux genoux, les pieds imbibés de boue et qu'on avait tous l'air d'hommes et femmes de cro-magnon, l'après-midi on est passés par la forêt pour rejoindre une cabane de berger appelée Ardinette. Une fois là-bas, dans une mini-vallée herbeuse et caillouteuse, le tonnerre se met à gronder, les nuages à passer par-dessus les montagnes, comme des vagues, des vagues d'une mer fantomatique... et d'un seul coup, PAF ! Tempête de grêle ! On s'est pris des grêlons de la taille de noyaux de cerises qui fouettaient bien comme il faut jusqu'à ce qu'on se mette à l'abri en retournant dans la forêt. Sur tout le chemin du retour il a plu des cordes et on est arrivés à l'Aberouat trempés jusqu'aux os. Une chance, Messire-Vin-Chaud avait prévu le chocolat chaud pour les marmots (et moi) et le vin chaud pour Qwenn et son pôpa.
Le soir, Crapaud-Moto (c'est pas méchant, c'est lui-même qui a dit qu'il avait l'air d'un crapaud quand il était sur sa 125) organisait des jeux avec les enfants, ce qui pouvait nous laisser l'occasion de nous éclipser Qwenn et moi pour être tranquilles et nous reposer un brin.
Le midi on a déjeuné au refuge, avant de repartir en randonnée tout l'après-midi. Alors, déjà que le matin on se prenait des taulées dans la gadoue bourbeuse et glaiseuse, qu'on en avait jusqu'aux genoux, les pieds imbibés de boue et qu'on avait tous l'air d'hommes et femmes de cro-magnon, l'après-midi on est passés par la forêt pour rejoindre une cabane de berger appelée Ardinette. Une fois là-bas, dans une mini-vallée herbeuse et caillouteuse, le tonnerre se met à gronder, les nuages à passer par-dessus les montagnes, comme des vagues, des vagues d'une mer fantomatique... et d'un seul coup, PAF ! Tempête de grêle ! On s'est pris des grêlons de la taille de noyaux de cerises qui fouettaient bien comme il faut jusqu'à ce qu'on se mette à l'abri en retournant dans la forêt. Sur tout le chemin du retour il a plu des cordes et on est arrivés à l'Aberouat trempés jusqu'aux os. Une chance, Messire-Vin-Chaud avait prévu le chocolat chaud pour les marmots (et moi) et le vin chaud pour Qwenn et son pôpa.
Le soir, Crapaud-Moto (c'est pas méchant, c'est lui-même qui a dit qu'il avait l'air d'un crapaud quand il était sur sa 125) organisait des jeux avec les enfants, ce qui pouvait nous laisser l'occasion de nous éclipser Qwenn et moi pour être tranquilles et nous reposer un brin.
Mardi 12 :
Bon, en fait c'est pas une photo de mardi, parce que mardi j'ai pas sorti mon appareil de la journée. Le matin c'était initiation au VTT. Sauf que l'une des marmottes était malade, alors je suis restée avec elle dans sa chambre pour veiller au grain en lisant Les Pirates ! dans : Une aventure avec les savants de Gideon Defoe (bouquin duquel est tiré le film Les Pirates ! Bons à rien, mauvais en tout.) Et heureusement ! Parce qu'avant midi, les gosses sont rentrés trempés, gelés, les doigts tout raides, engourdis et tous transis. Y en avait qui pleuraient, d'autres qui rouspétaient... Ça me donnait pas envie d'y aller l'après-midi.
Pourtant, la petiote était en meilleure forme l'aprèm' et a voulu participer à la randonnée VTT prévue. Du coup on a eu nos vélos et on est tous partis en mini-bus jusqu'à un endroit sympathique où commencer la balade. C'était ardu. Mais vu qu'il y avait des gosses ramolos, j'ai choisi de me mettre en fin de marche pour surveiller les traînards et du coup j'ai pas pédalé comme une dératée, comme je le fais quand je suis seule, ce qui me conduit toujours à un évanouissement inopiné ; et j'ai carrément pas souffert de la journée. Bon, il a pas mal plu (c'est là que je bénis mon adoré ciré jaune) et emmener l'appareil-photo aurait été une très mauvaise idée, mais la journée a été géniale. Les gosses eux-mêmes étaient contents. A part mon petit préféré, qui a passé la journée à râler (et vous vous étonnez que ce soit mon préféré ? – entre râleurs on se serre les coudes) et a carrément fini par perdre sa roue arrière en pleine descente : plus de peur que de mal, rassurez-vous, le môme n'est même pas tombé !
Du coup, dommage, pas de photo des gosses qui tombent de vélo en plein dans le cours d'eau qu'il fallait traverser en pédalant, ni de moi qui me trempe jusqu'aux fesses en le traversant... nan parce qu'il faut quand même préciser que si j'ai réussi les deux fois à traverser la petite rivière en pédalant, je suis quand même la seule à m'être débrouiller pour me mouiller jusqu'à la culotte ! Je suis si mal foutue que ça ?
Mercredi 13 :
Mercredi c'était course d'orientation dans le village de Lescun. Lescun c'est un tout petit village adorable, rustique, simple, hors du temps... On est partis le matin, pour pique-niquer dans le village, après avoir marché depuis le refuge afin de voir un berger fabriquer son fromage de brebis. On lui en a d'ailleurs tous acheté un petit peu : son fromage est un régal ! Pourtant je ne suis pas très fan de fromage. On a déjeuné devant une adorable petite église, avant d'envoyer les enfants faire leur course d'orientation dans le patelin. Nous on en a aussi profité pour aller prendre un café et un thé dans l'un des petits bars du village. Se promener dans ces rues était d'un reposant, malgré les gosses qui se font la guerre constamment, même au sein de groupes de 5.
En tout cas, Lescun est un petit village à voir absolument si vous allez dans les Pyrénées Atlantiques.
Jeudi 14 :
Là encore, ce n'est en fait pas une photo de jeudi, parce que jeudi c'était escalade et que j'avais refusé de prendre mon appareil si Qwenn prenait le sien, afin de ne pas faire double emploi et de ne pas être encombrée pour rien. Sauf que, pas de bol, sa batterie fraîchement rechargée refusait pourtant d'alimenter l'appareil-photo. On s'est retrouvés comme des cons.
Cela dit, l'escalade avec Don-Johann c'était génial. Vous ne savez sans doute pas que j'ai tendance à avoir facilement le vertige, et que du coup je me disais que j'aurais vachement peur de grimper à la verticale sur des rochers. Pourtant, si au début je peinais à trouver des prises, une fois que j'avais pris le truc, la montée me paraissait vachement rapide et en se concentrant comme ça sur le rocher en lui-même, sur où poser ensuite le pied, où s'agripper avec la main... même pas le temps de cogiter que j'étais à plusieurs mètres du sol que j'étais déjà au sommet du rocher et qu'il fallait redescendre : et comme on était bien attachés à la corde avec nos baudriers, c'était très simple et sympathique.
Les enfants ont eu du mal pour certains, au début. Plusieurs fillettes ont monté un mètre avant de demander à redescendre, parfois en pleurs, parfois non, mais elles ont toutes réessayé, une fois, deux fois, avant de finir par monter jusqu'en haut. Elles ont même toutes fait la tyrolienne que Don-Johann a installé ensuite. Par contre, deux garçons ont carrément refusé d'essayer : j'étais fière des filles quand je voyais ça.
Donc on a mangé sur place et on a grimpé toute la journée. C'est là que je me suis pris le premier coup de soleil de ma vie ! Mon pif était rouge comme celui d'un clown (et je vous laisse imaginer ô combien je hais les clowns) et mes joues me cuisaient. Les Pyrénées c'est traitre. Il fait frais, il y a du vent, mais tu crames !
Le soir c'était la boom tant attendue. Mais entre le Qwenn qui s'était chopé une insolation, les gosses dépressifs (faut dire que certains n'ont vraiment pas des vies faciles) et les gosses outrageusement collants, j'en ai pas des masses profité.
Cela dit, l'escalade avec Don-Johann c'était génial. Vous ne savez sans doute pas que j'ai tendance à avoir facilement le vertige, et que du coup je me disais que j'aurais vachement peur de grimper à la verticale sur des rochers. Pourtant, si au début je peinais à trouver des prises, une fois que j'avais pris le truc, la montée me paraissait vachement rapide et en se concentrant comme ça sur le rocher en lui-même, sur où poser ensuite le pied, où s'agripper avec la main... même pas le temps de cogiter que j'étais à plusieurs mètres du sol que j'étais déjà au sommet du rocher et qu'il fallait redescendre : et comme on était bien attachés à la corde avec nos baudriers, c'était très simple et sympathique.
Les enfants ont eu du mal pour certains, au début. Plusieurs fillettes ont monté un mètre avant de demander à redescendre, parfois en pleurs, parfois non, mais elles ont toutes réessayé, une fois, deux fois, avant de finir par monter jusqu'en haut. Elles ont même toutes fait la tyrolienne que Don-Johann a installé ensuite. Par contre, deux garçons ont carrément refusé d'essayer : j'étais fière des filles quand je voyais ça.
Donc on a mangé sur place et on a grimpé toute la journée. C'est là que je me suis pris le premier coup de soleil de ma vie ! Mon pif était rouge comme celui d'un clown (et je vous laisse imaginer ô combien je hais les clowns) et mes joues me cuisaient. Les Pyrénées c'est traitre. Il fait frais, il y a du vent, mais tu crames !
Le soir c'était la boom tant attendue. Mais entre le Qwenn qui s'était chopé une insolation, les gosses dépressifs (faut dire que certains n'ont vraiment pas des vies faciles) et les gosses outrageusement collants, j'en ai pas des masses profité.
Vendredi 15 :
C'était la pire journée. La meilleure aussi.
Le matin on est partis en randonnée pour atteindre une cabane de berger appelée la Cabane du Bouet. Là-bas on a mangé, une fois qu'on était déjà bien lessivés et alors que les marmots se sont mis à faire du dessin d'observation en zieutant les montagnes, Pépod nous a indiqué un chemin à prendre, Qwenn et moi, pour grimper jusqu'en haut de la montagne et des sentiers pour les rejoindre ensuite. Durant une heure et demi on s'est éclipsés et on a grimpé, grimpé... jusqu'à changer de face de la montagne et découvrir en-dessous de nous une autre vallée. Les chemins pierreux étaient vachement traitres, les pierres roulaient quand on marchait dessus et j'avais constamment peur de tomber, pourtant on est bien arrivés au sommet, on a profité du paysage, du vent frais après avoir cramé comme des frites en montant. On a ensuite longé la falaise pour redescendre vers les plaines herbues et la civilisation des gamins qui avaient déjà fait un bout de chemin sur un autre sentier.
Après, les gosses ont choisi le mode "aventure" pour rentrer à l'Aberouat en votant. Quelle folie n'ont-ils pas commise ! Nous voila à grimper en forêt, à glisser dans les feuilles sur des pentes abruptes, avec des marmots lessivés ; et nous qui venions de nous faire une heure et demi de rando' bonus en plein cagnard ! Le chemin était périlleux, fatiguant, éreintant, mais tellement génial. Du coup on est tous rentrés au refuge, morts mais heureux.
Il a fallu faire les valises, dîner, puis on a pu écouter la directrice, Mountain-Tattoo, nous narrer deux contes ; faut dire qu'elle a un talent pour raconter des histoires, elle aurait pu les enchaîner toute la nuit que j'aurais pas décroché ! Et les gamins non plus à mon avis.
Le matin on est partis en randonnée pour atteindre une cabane de berger appelée la Cabane du Bouet. Là-bas on a mangé, une fois qu'on était déjà bien lessivés et alors que les marmots se sont mis à faire du dessin d'observation en zieutant les montagnes, Pépod nous a indiqué un chemin à prendre, Qwenn et moi, pour grimper jusqu'en haut de la montagne et des sentiers pour les rejoindre ensuite. Durant une heure et demi on s'est éclipsés et on a grimpé, grimpé... jusqu'à changer de face de la montagne et découvrir en-dessous de nous une autre vallée. Les chemins pierreux étaient vachement traitres, les pierres roulaient quand on marchait dessus et j'avais constamment peur de tomber, pourtant on est bien arrivés au sommet, on a profité du paysage, du vent frais après avoir cramé comme des frites en montant. On a ensuite longé la falaise pour redescendre vers les plaines herbues et la civilisation des gamins qui avaient déjà fait un bout de chemin sur un autre sentier.
Après, les gosses ont choisi le mode "aventure" pour rentrer à l'Aberouat en votant. Quelle folie n'ont-ils pas commise ! Nous voila à grimper en forêt, à glisser dans les feuilles sur des pentes abruptes, avec des marmots lessivés ; et nous qui venions de nous faire une heure et demi de rando' bonus en plein cagnard ! Le chemin était périlleux, fatiguant, éreintant, mais tellement génial. Du coup on est tous rentrés au refuge, morts mais heureux.
Il a fallu faire les valises, dîner, puis on a pu écouter la directrice, Mountain-Tattoo, nous narrer deux contes ; faut dire qu'elle a un talent pour raconter des histoires, elle aurait pu les enchaîner toute la nuit que j'aurais pas décroché ! Et les gamins non plus à mon avis.
Pour samedi 11 il n'y a pas grand chose à dire, à part qu'on est partis à l'aube pour faire le trajet inverse de celui pour venir (logique non ?) : mini-bus, train à Pau jusqu'à Bordeaux, puis de Bordeaux à chez nous... ouf. Fini. Dodo... Ça faisait du bien de ne pas avoir à cogiter aux 20 gamins... D'être tranquilles. De pouvoir dormir ! Repos bien mérité. Et mes mollets confirment mes propos : ils ont doublé de volume en une semaine, les voilà plus gros que mes cuisses ! Non, je ne préfère pas vous montrer...
Place alors à quelques autres photos du séjour ! (et non ! je ne vous montrerai vraiment pas mes mollets !)
Place alors à quelques autres photos du séjour ! (et non ! je ne vous montrerai vraiment pas mes mollets !)
Dans les Pyrénées, il y avait des enfants :
Dans les Pyrénées il y avait des enfants et des fourmis :
Dans les Pyrénées il y avait des enfants, des fourmis et des pentes :
Dans les Pyrénées il y avait des enfants, des fourmis, des pentes et des jolies fleurs qu'on connait pas le nom :
Dans les Pyrénées il y avait des enfants, des fourmis, des pentes, des jolies fleurs qu'on connait pas le nom et des chiens :
Dans les Pyrénées il y avait des enfants, des fourmis, des pentes, des jolies fleurs qu'on connait pas le nom, des chiens et des pavots gallois :
Dans les Pyrénées il y avait des enfants, des fourmis, des pentes, des jolies fleurs qu'on connait pas le nom, des chiens, des pavots gallois et des papillons bleus :
Dans les Pyrénées il y avait des enfants, des fourmis, des pentes, des jolies fleurs qu'on connait pas le nom, des chiens, des pavots gallois, des papillons bleus et Qwenn qui cherche des serpents :
Dans les Pyrénées il y avait des enfants, des fourmis, des pentes, des jolies fleurs qu'on connait pas le nom, des chiens, des pavots gallois, des papillons bleus, Qwenn qui cherche des serpents et des mouches :
Dans les Pyrénées il y avait des enfants, des fourmis, des pentes, des jolies fleurs qu'on connait pas le nom, des chiens, des pavots gallois, des papillons bleus, Qwenn qui cherche des serpents, des mouches et des fleurs dans les rochers :
Dans les Pyrénées il y avait des enfants, des fourmis, des pentes, des jolies fleurs qu'on connait pas le nom, des chiens, des pavots gallois, des papillons bleus, Qwenn qui cherche des serpents, des mouches, des fleurs dans les rochers et des gens qu'ont trop la classe :
Dans les Pyrénées il y avait des enfants, des fourmis, des pentes, des jolies fleurs qu'on connait pas le nom, des chiens, des pavots gallois, des papillons bleus, Qwenn qui cherche des serpents, des mouches, des fleurs dans les rochers, des gens qu'ont trop la classe et des cierges :
Dans les Pyrénées il y avait des enfants, des fourmis, des pentes, des jolies fleurs qu'on connait pas le nom, des chiens, des pavots gallois, des papillons bleus, Qwenn qui cherche des serpents, des mouches, des fleurs dans les rochers, des gens qu'ont trop la classe, des cierges et des papillons oranges :
Dans les Pyrénées il y avait des enfants, des fourmis, des pentes, des jolies fleurs qu'on connait pas le nom, des chiens, des pavots gallois, des papillons bleus, Qwenn qui cherche des serpents, des mouches, des fleurs dans les rochers, des gens qu'ont trop la classe, des cierges, des papillons oranges et des fromages :
Dans les Pyrénées il y avait des enfants, des fourmis, des pentes, des jolies fleurs qu'on connait pas le nom, des chiens, des pavots gallois, des papillons bleus, Qwenn qui cherche des serpents, des mouches, des fleurs dans les rochers, des gens qu'ont trop la classe, des cierges, des papillons oranges, des fromages et de belles maisons :
Dans les Pyrénées il y avait des enfants, des fourmis, des pentes, des jolies fleurs qu'on connait pas le nom, des chiens, des pavots gallois, des papillons bleus, Qwenn qui cherche des serpents, des mouches, des fleurs dans les rochers, des gens qu'ont trop la classe, des cierges, des papillons oranges, des fromages, de belles maisons et des fleurs avec des gouttes dessus :
Euh... voila.
Je crois que la montagne est mon milieu naturel préféré, et c'est pour ça que j'aime autant l'Auvergne (toutes proportions gardées, la Chaîne des Puys est moins haute et moins pointue ^^). J'aurais adoré un tel séjour, avec plein de rando, de forêt et de grimpette :D Dommage qu'il ait tant plu, mais t'as l'air d'avoir adoré et ça te fera autant de bons souvenirs que d'expérience enrichissante ;)
Et puis, du bon fromage de brebis ! *bave*
J'adore tes photos, elles sont superbes, comme d'hab :D Tu fais partie du club Clichés bucoliques de Kyra, nan ? XD
(waaaaah, ce mec, chuis trop fan de ses yeux *__*)