The Dark Knight Rises, réalisé par Christopher Nolan
★★★☆
Synopsis (provenance Allociné) : Il y a huit ans, Batman a disparu dans la nuit : lui qui était un héros est alors devenu un fugitif. S'accusant de la mort du procureur-adjoint Harvey Dent, le Chevalier Noir a tout sacrifié au nom de ce que le commissaire Gordon et lui-même considéraient être une noble cause. Et leurs actions conjointes se sont avérées efficaces pour un temps puisque la criminalité a été éradiquée à Gotham City grâce à l'arsenal de lois répressif initié par Dent.
Mais c'est un chat – aux intentions obscures – aussi rusé que voleur qui va tout bouleverser. À moins que ce ne soit l'arrivée à Gotham de Bane, terroriste masqué, qui compte bien arracher Bruce à l'exil qu'il s'est imposé. Pourtant, même si ce dernier est prêt à endosser de nouveau la cape et le casque du Chevalier Noir, Batman n'est peut-être plus de taille à affronter Bane…
Mais c'est un chat – aux intentions obscures – aussi rusé que voleur qui va tout bouleverser. À moins que ce ne soit l'arrivée à Gotham de Bane, terroriste masqué, qui compte bien arracher Bruce à l'exil qu'il s'est imposé. Pourtant, même si ce dernier est prêt à endosser de nouveau la cape et le casque du Chevalier Noir, Batman n'est peut-être plus de taille à affronter Bane…
Mon avis : J'ai pas été déçue le moins du monde (enfin si, juste un tout tout tout petit peu sur la fin), ce film est une tuerie ! C'est bien un Nolan, bien sombre et réaliste dans la continuité du deuxième Batman de la trilogie. Toujours cette musique typique Hans Zimmerienne, un véritable régal. Et un casting toujours aussi bon ; Gary Oldman toujours là en gentil flic, Morgan Freeman en Lucius Fox, Michael Caine en fidèle serviteur, et nécessairement toujours le séduisant Christian Bale dans le rôle de Batman ; avec en plus, le choupinet Joseph Gordon-Levitt qu'on avait pu découvrir avec 500 Days of Summer, ou Inception, avec Anne Hathaway en Catwoman, et avec l'insupportable Marion Cotillard (nan mais je suis désolée, je peux vraiment pas la blairer...) qui rajoute un peu de comique, à son insu.
Le film est long, comme The Dark Knight, mais les images sont sublimes, l'histoire toujours aussi poignante, y a même Alfred qui m'a fait pleurer au milieu et à la fin du film, si, si.
Franchement, si je devais le voir une seconde fois, il est possible que je trouverais des longueurs à tel ou tel endroit, et que finalement je m'ennuierais, tout comme ça s'est passé aves The Dark Knight ; au cinéma j'ai jubilé, en DVD parfois je m'ennuyais. Mais faut à tout prix voir The Dark Knight Rises au moins une fois, et c'est carrément mieux au cinéma !
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Jane Eyre, réalisé par Cari Fukunaga
★★★☆
Synopsis (provenance Cinéma Les Studios) : Lourde d'un passé sans amour, Jane Eyre trouve refuge et travail dans un lieu rempli de mystères. Gouvernante de la petite Adèle, elle est confrontée au caractère ombrageux du père, qui ne tarde pas à tomber amoureux d'elle et à lui livrer son secret.
Adaptation élégante et jouée très juste, du roman de Charlotte Brontë, paru en 1847.
Mon avis : Comme beaucoup j'étais habituée à la version de Zeffirelli, de 1996, avec William Hurt et Charlotte Gainsbourg ; version à laquelle j'étais très attachée. C'est grâce à cette version que j'ai eu envie de lire le livre de Brontë, qui finalement est très bien mais un peu long, contrairement aux Hauts de Hurlevent, écrit par sa soeur, qui s'attarde moins sur les aspects "religieux" des personnages. Enfin bon, on n'est pas là pour parler du bouquin mais du dernier film, avec Michael Fassbender dans le rôle de Rochester (on ne présente plus ce super acteur, mais on peut néanmoins dire qu'il joue un Rochester moins sombre et moins torturé que celui joué par William Hurt, 15 ans avant), avec Jamie Bell (souvenez-vous de Billy Elliot, ou de l'Aigle de la Neuvième Légion), avec Mia Wasikowska (qui a joué Alice dans l'Alice au Pays des Merveilles de Burton ; du coup elle remonte dans mon estime vu que j'avais pas aimé le film de Burton ni son interprétation), et avec à la fois Judi Dench et Tamzin Merchant (qui jouent respectivement Lady Catherine de Bourgh et Georgianna Darcy dans l'Orgueil et Préjugés de Joe Wright) : vous l'aurez compris, on a à faire à un super casting !
L'histoire est bien la même que dans le précédent film ainsi que dans le bouquin ; on insiste juste plus sur certains détails, mais malheureusement on en oublie d'autres. J'ai tilté, en copiant le synopsis dans cet article, qu'il n'est jamais dit qu'Adèle n'est pas la fille de Rochester (qui est l'inculte qui écrit les synopsis des Studios ?) ; mais d'un autre côté, la façon dont le film est traité (avec un flashback ; désolée, j'ai pas un vocabulaire cinématographique très au point, vous le savez bien) montre bien que Jane Eyre passe beaucoup de temps en compagnie des Rivers, ce qui n'était pas très appuyé dans la précédente version.
Enfin voila, je vous ponds plus des prémices d'étude comparatiste qu'un véritable article sur le film. Mais bon, sachez que le film est servi par une très bonne bande son, signée Dario Marianelli (Orgueil et Préjugés once again !), et qu'il vaut bien le coup d'être vu !
Cela dit, prudence pour les gens qui ne sont pas des habitués du genre, vous risqueriez de vous ennuyer.
Adaptation élégante et jouée très juste, du roman de Charlotte Brontë, paru en 1847.
Mon avis : Comme beaucoup j'étais habituée à la version de Zeffirelli, de 1996, avec William Hurt et Charlotte Gainsbourg ; version à laquelle j'étais très attachée. C'est grâce à cette version que j'ai eu envie de lire le livre de Brontë, qui finalement est très bien mais un peu long, contrairement aux Hauts de Hurlevent, écrit par sa soeur, qui s'attarde moins sur les aspects "religieux" des personnages. Enfin bon, on n'est pas là pour parler du bouquin mais du dernier film, avec Michael Fassbender dans le rôle de Rochester (on ne présente plus ce super acteur, mais on peut néanmoins dire qu'il joue un Rochester moins sombre et moins torturé que celui joué par William Hurt, 15 ans avant), avec Jamie Bell (souvenez-vous de Billy Elliot, ou de l'Aigle de la Neuvième Légion), avec Mia Wasikowska (qui a joué Alice dans l'Alice au Pays des Merveilles de Burton ; du coup elle remonte dans mon estime vu que j'avais pas aimé le film de Burton ni son interprétation), et avec à la fois Judi Dench et Tamzin Merchant (qui jouent respectivement Lady Catherine de Bourgh et Georgianna Darcy dans l'Orgueil et Préjugés de Joe Wright) : vous l'aurez compris, on a à faire à un super casting !
L'histoire est bien la même que dans le précédent film ainsi que dans le bouquin ; on insiste juste plus sur certains détails, mais malheureusement on en oublie d'autres. J'ai tilté, en copiant le synopsis dans cet article, qu'il n'est jamais dit qu'Adèle n'est pas la fille de Rochester (qui est l'inculte qui écrit les synopsis des Studios ?) ; mais d'un autre côté, la façon dont le film est traité (avec un flashback ; désolée, j'ai pas un vocabulaire cinématographique très au point, vous le savez bien) montre bien que Jane Eyre passe beaucoup de temps en compagnie des Rivers, ce qui n'était pas très appuyé dans la précédente version.
Enfin voila, je vous ponds plus des prémices d'étude comparatiste qu'un véritable article sur le film. Mais bon, sachez que le film est servi par une très bonne bande son, signée Dario Marianelli (Orgueil et Préjugés once again !), et qu'il vaut bien le coup d'être vu !
Cela dit, prudence pour les gens qui ne sont pas des habitués du genre, vous risqueriez de vous ennuyer.
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Rebelle, réalisé par Mark Andrews et Brenda Chapman
★★★★
Synopsis (provenance Allociné) : Depuis la nuit des temps, au cœur des terres sauvages et mystérieuses des Highlands d’Ecosse, récits de batailles épiques et légendes mythiques se transmettent de génération en génération. Merida, l’impétueuse fille du roi Fergus et de la reine Elinor, a un problème… Elle est la seule fille au monde à ne pas vouloir devenir princesse ! Maniant l’arc comme personne, Merida refuse de se plier aux règles de la cour et défie une tradition millénaire sacrée aux yeux de tous et particulièrement de sa mère. Dans sa quête de liberté, Merida va involontairement voir se réaliser un vœu bien malheureux et précipiter le royaume dans le chaos. Sa détermination va lui être cruciale pour déjouer cette terrible malédiction.
A droite on dirait Criquet, ça m'a fait rire tout le long du film !
A droite on dirait Criquet, ça m'a fait rire tout le long du film !
Mon avis : Excellent, épique, drôle, beau... tout ce qu'il faut. Tout à fait dans la même ambiance que Dragon, avec malheureusement quelques courtes chansons typiques Disney comme dans Raiponce, mais avec une belle histoire toute épique qui peut plaire absolument à tous ; action, magie, contes, féérie, émotion, sans jamais tomber dans l'histoire d'amour plan-plan ordinaire (en même temps, faut voir les gus qu'on lui propose à Merida). Il contient absolument tout ce que je demande à un dessin animé, avec une musique tellement géniale que j'ai cru qu'elle était de Mark Streitenfeld, alors qu'elle est de Patrick Doyle (inconnu au bataillon, qui a pourtant fait pas mal de musiques de films déjà). En fait je n'ai pas grand chose à dire à part que c'était génial, qu'il faut absolument le voir, et même en 3D, parce que pour ce genre de dessins animés, les effets 3D sont carrément bluffants (des feux follets qui sortent de l'écran, mais c'est vraiment trop cool !)